Home Blog Pagina 2581

César 2018: tutti i nominati agli Oscar francesi

0
César 2018: tutti i nominati agli Oscar francesi

Sono state annunciate le nomination ai César 2018, gli Oscar del cinema francese, la cui cerimonia si terrà il prossimo 2 Marzo. Trai film più nominati c’è 120 battiti al minuto di Robin Campillo, completamente ignorato dai premi americani (Golden Globes e Oscar) nella corsa a miglior film straniero, ma già premiato al Festival di Cannes 2017.

Ecco i nominati ai César 2018

CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE
JEANNE BALIBAR dans BARBARA
JULIETTE BINOCHE dans UN BEAU SOLEIL INTÉRIEUR
EMMANUELLE DEVOS dans NUMÉRO UNE
MARINA FOÏS dans L’ATELIER
CHARLOTTE GAINSBOURG dans LA PROMESSE DE L’AUBE
DORIA TILLIER dans MONSIEUR & MADAME ADELMAN
KARIN VIARD dans JALOUSE

CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR
SWANN ARLAUD dans PETIT PAYSAN
DANIEL AUTEUIL dans LE BRIO
JEAN-PIERRE BACRI dans LE SENS DE LA FÊTE
GUILLAUME CANET dans ROCK’N ROLL
ALBERT DUPONTEL dans AU REVOIR LÀ-HAUT
LOUIS GARREL dans LE REDOUTABLE
REDA KATEB dans DJANGO

CÉSAR DE LA MEILLEURE ACTRICE DANS UN SECOND RÔLE
LAURE CALAMY dans AVA
ANAÏS DEMOUSTIER dans LA VILLA
SARA GIRAUDEAU dans PETIT PAYSAN
ADÈLE HAENEL dans 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
MÉLANIE THIERRY dans AU REVOIR LÀ-HAUT

CÉSAR DU MEILLEUR ACTEUR DANS UN SECOND RÔLE
NIELS ARESTRUP dans AU REVOIR LÀ-HAUT
LAURENT LAFITTE dans AU REVOIR LÀ-HAUT
GILLES LELLOUCHE dans LE SENS DE LA FÊTE
VINCENT MACAIGNE dans LE SENS DE LA FÊTE
ANTOINE REINARTZ dans 120 BATTEMENTS PAR MINUTE

CÉSAR DU MEILLEUR ESPOIR FÉMININ
IRIS BRY dans LES GARDIENNES
LAETITIA DOSCH dans JEUNE FEMME
EYE HAÏDARA dans LE SENS DE LA FÊTE
CAMÉLIA JORDANA dans LE BRIO
GARANCE MARILLIER dans GRAVE

CÉSAR DU MEILLEUR ESPOIR MASCULIN
BENJAMIN LAVERNHE dans LE SENS DE LA FÊTE
FINNEGAN OLDFIELD dans MARVIN OU LA BELLE ÉDUCATION
PABLO PAULY dans PATIENTS
NAHUEL PÉREZ BISCAYART dans 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
ARNAUD VALOIS dans 120 BATTEMENTS PAR MINUTE

CÉSAR DU MEILLEUR SCÉNARIO ORIGINAL
ROBIN CAMPILLO pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
MATHIEU AMALRIC, PHILIPPE DI FOLCO pour BARBARA
JULIA DUCOURNAU pour GRAVE
CLAUDE LE PAPE, HUBERT CHARUEL pour PETIT PAYSAN
ERIC TOLEDANO, OLIVIER NAKACHE pour LE SENS DE LA FÊTE

CÉSAR DE LA MEILLEURE ADAPTATION
ALBERT DUPONTEL, PIERRE LEMAITRE pour AU REVOIR LÀ-HAUT
XAVIER BEAUVOIS, FRÉDÉRIQUE MOREAU, MARIE-JULIE MAILLE pour LES GARDIENNES
GRAND CORPS MALADE, FADETTE DROUARD pour PATIENTS
ERIC BARBIER, MARIE EYNARD pour LA PROMESSE DE L’AUBE
MICHEL HAZANAVICIUS pour LE REDOUTABLE

CÉSAR DE LA MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE
ARNAUD REBOTINI pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
CHRISTOPHE JULIEN pour AU REVOIR LÀ-HAUT
JIM WILLIAMS pour GRAVE
MYD pour PETIT PAYSAN
MATTHIEU CHEDID pour VISAGES VILLAGES

CÉSAR DU MEILLEUR SON
JULIEN SICART, VALÉRIE DE LOOF, JEAN-PIERRE LAFORCE pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
JEAN MINONDO, GURWAL COÏC-GALLAS, CYRIL HOLTZ, DAMIEN LAZZERINI pour AU REVOIR LÀ-HAUT
OLIVIER MAUVEZIN, NICOLAS MOREAU, STÉPHANE THIÉBAUT pour BARBARA
MATHIEU DESCAMPS, SÉVERIN FAVRIAU, STÉPHANE THIÉBAUT pour GRAVE
PASCAL ARMANT, SÉLIM AZZAZI, JEAN-PAUL HURIER pour LE SENS DE LA FÊTE

CÉSAR DE LA MEILLEURE PHOTO
JEANNE LAPOIRIE pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
VINCENT MATHIAS pour AU REVOIR LÀ-HAUT
CHRISTOPHE BEAUCARNE pour BARBARA
CAROLINE CHAMPETIER pour LES GARDIENNES
GUILLAUME SCHIFFMAN pour LE REDOUTABLE

CÉSAR DU MEILLEUR MONTAGE
ROBIN CAMPILLO pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
CHRISTOPHE PINEL pour AU REVOIR LÀ-HAUT
FRANÇOIS GEDIGIER pour BARBARA
JULIE LENA, LILIAN CORBEILLE, GRÉGOIRE PONTECAILLE pour PETIT PAYSAN
DORIAN RIGAL ANSOUS pour LE SENS DE LA FÊTE

CÉSAR DES MEILLEURS COSTUMES
ISABELLE PANNETIER pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
MIMI LEMPICKA pour AU REVOIR LÀ-HAUT
PASCALINE CHAVANNE pour BARBARA
ANAÏS ROMAND pour LES GARDIENNES
CATHERINE BOUCHARD pour LA PROMESSE DE L’AUBE

CÉSAR DES MEILLEURS DÉCORS
EMMANUELLE DUPLAY pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
PIERRE QUEFFÉLÉAN pour AU REVOIR LÀ-HAUT
LAURENT BAUDE pour BARBARA
PIERRE RENSON pour LA PROMESSE DE L’AUBE
CHRISTIAN MARTI pour LE REDOUTABLE

CÉSAR DE LA MEILLEURE RÉALISATION
ROBIN CAMPILLO pour 120 BATTEMENTS PAR MINUTE
ALBERT DUPONTEL pour AU REVOIR LÀ-HAUT
MATHIEU AMALRIC pour BARBARA
JULIA DUCOURNAU pour GRAVE
HUBERT CHARUEL pour PETIT PAYSAN
MICHEL HAZANAVICIUS pour LE REDOUTABLE
ERIC TOLEDANO, OLIVIER NAKACHE pour LE SENS DE LA FÊTE

CÉSAR DU MEILLEUR FILM DE COURT MÉTRAGE
LES BIGORNEAUX réalisé par ALICE VIAL, produit par JONATHAN HAZAN
LE BLEU BLANC ROUGE DE MES CHEVEUX réalisé par JOSZA ANJEMBE,
produit par NELSON GHRÉNASSIA, GABRIEL FESTOC
DEBOUT KINSHASA ! réalisé par SÉBASTIEN MAITRE, produit par LAURA TOWNSEND
MARLON réalisé par JESSICA PALUD, produit par SYLVAIN LAGRILLÈRE, LUCAS TOTHE
LES MISÉRABLES réalisé par LADJ LY, produit par TOUFIK AYADI, CHRISTOPHE BARRAL

CÉSAR DU MEILLEUR FILM D’ANIMATION
pour le COURT MÉTRAGE
LE FUTUR SERA CHAUVE réalisé par PAUL CABON, produit par YANN LEGAY
I WANT PLUTO TO BE A PLANET AGAIN réalisé par MARIE AMACHOUKELI, VLADIMIR MAVOUNIA-KOUKA,
produit par NICOLAS SCHMERKIN
LE JARDIN DE MINUIT réalisé par BENOÎT CHIEUX, produit par RON DYENS
PÉPÉ LE MORSE réalisé par LUCRÈCE ANDREAE, produit par JÉRÔME BARTHÉLEMY, DANIEL SAUVAGE
pour le LONG MÉTRAGE
LE GRAND MÉCHANT RENARD ET AUTRES CONTES… réalisé par BENJAMIN RENNER, PATRICK IMBERT,
produit par DAMIEN BRUNNER, DIDIER BRUNNER
SAHARA réalisé par PIERRE CORÉ,
produit par ERIC ALTMAYER, NICOLAS ALTMAYER, PIERRE CORÉ, CHRISTIAN RONGET, MICHEL CORTEY
ZOMBILLÉNIUM réalisé par ARTHUR DE PINS, ALEXIS DUCORD,
produit par HENRI MAGALON, LÉON PERAHIA

CÉSAR DU MEILLEUR FILM DOCUMENTAIRE
12 JOURS réalisé par RAYMOND DEPARDON, produit par CLAUDINE NOUGARET
À VOIX HAUTE – LA FORCE DE LA PAROLE réalisé par STÉPHANE DE FREITAS, LADJ LY,
produit par HARRY TORDJMAN, ANNA TORDJMAN
CARRÉ 35 réalisé par ERIC CARAVACA, produit par LAETITIA GONZALEZ, YAËL FOGIEL
I AM NOT YOUR NEGRO réalisé par RAOUL PECK, produit par RÉMI GRELLETY, RAOUL PECK
VISAGES VILLAGES réalisé par AGNÈS VARDA, JR, produit par ROSALIE VARDA

CÉSAR DU MEILLEUR PREMIER FILM
GRAVE réalisé par JULIA DUCOURNAU, produit par JEAN DES FORÊTS, JULIE GAYET, NADIA TURINCEV
JEUNE FEMME réalisé par LÉONOR SERRAILLE, produit par SANDRA DA FONSECA
MONSIEUR & MADAME ADELMAN réalisé par NICOLAS BEDOS,
produit par FRANÇOIS KRAUS, DENIS PINEAU-VALENCIENNE
PATIENTS réalisé par GRAND CORPS MALADE, MEHDI IDIR,
produit par ERIC ALTMAYER, NICOLAS ALTMAYER, JEAN-RACHID
PETIT PAYSAN réalisé par HUBERT CHARUEL, produit par STÉPHANIE BERMANN, ALEXIS DULGUERIAN

CÉSAR DU MEILLEUR FILM ÉTRANGER
LE CAIRE CONFIDENTIEL réalisé par TARIK SALEH, distribution France MEMENTO FILMS DISTRIBUTION
DUNKERQUE réalisé par CHRISTOPHER NOLAN, distribution France WARNER BROS
L’ÉCHANGE DES PRINCESSES réalisé par MARC DUGAIN,
coproduction France HIGH SEA PRODUCTION (Patrick André)
FAUTE D’AMOUR réalisé par ANDREÏ ZVIAGUINTSEV,
coproduction France WHY NOT PRODUCTIONS (Pascal Caucheteux, Grégoire Sorlat)
LA LA LAND réalisé par DAMIEN CHAZELLE, distribution France SND
NOCES réalisé par STEPHAN STREKER,
coproduction France FORMOSA PRODUCTIONS (Michaël Goldberg, Boris Van Gils)
THE SQUARE réalisé par RUBEN ÖSTLUND,
coproduction France SOCIÉTÉ PARISIENNE DE PRODUCTION (Philippe Bober)

CÉSAR DU MEILLEUR FILM
120 BATTEMENTS PAR MINUTE produit par HUGUES CHARBONNEAU, MARIE-ANGE LUCIANI,
réalisé par ROBIN CAMPILLO
AU REVOIR LÀ-HAUT produit par CATHERINE BOZORGAN, réalisé par ALBERT DUPONTEL
BARBARA produit par PATRICK GODEAU, réalisé par MATHIEU AMALRIC
LE BRIO produit par DIMITRI RASSAM, BENJAMIN ELALOUF, réalisé par YVAN ATTAL
PATIENTS produit par ERIC ALTMAYER, NICOLAS ALTMAYER, JEAN-RACHID,
réalisé par GRAND CORPS MALADE, MEHDI IDIR
PETIT PAYSAN produit par STÉPHANIE BERMANN, ALEXIS DULGUERIAN, réalisé par HUBERT CHARUEL
LE SENS DE LA FÊTE produit par NICOLAS DUVAL ADASSOVSKY, YANN ZENOU, LAURENT ZEITOUN,
réalisé par ERIC TOLEDANO, OLIVIER NAKACHE

La cerimonia di premiazione si svolgerà a Parigi il 2 marzo e durante la serata Penelope Cruz riceverà il César onorario mentre Vanessa Paradis aprirà simbolicamente al cerimonia con un omaggio a Jeanne Moreau, morta a 89 anni il 31 luglio scorso.

César 2018: ecco i vincitori degli Oscar francesi

0
César 2018: ecco i vincitori degli Oscar francesi

Come da tradizione, il venerdì prima della Notte degli Oscar, la Francia assegna i suoi premi al cinema e di seguito trovate la lista dei principali vincitori dei César 2018.

A conquistare la maggior parte dei premi 120 battiti al minuto di Robin Campillo.

Di seguito i vincitori dei César 2018

Miglior film: 120 battiti al minuto

Miglior attore: Swann Arlaud per 120 batti al minuto

Miglior attrice: Jeanne Balibar per Barbara

Miglior regista: Albert Dupontel per Au revoir là-haut

Miglior attore non protagonista: Antoine Reinartz per 120 battiti al minuto

Miglior attrice non protagonista: Sara Giraudeau per Petit paysan

Miglior speranza maschile: Nahuel Perez Biscayart per 120 battiti al minuto

Miglior speranza femminile: Camelia Jordana per Le Brio

Miglior montaggio: Robin Campillo per 120 battiti al minuto

Miglior fotografia: Vincent Mathias per Au revoir là-haut

Miglior colonna sonora: Arnaud Rebotini per 120 battiti al minuto

Miglior film d’animazione: Le Grand méchant Renard et autres contes di Benjamin Renner e Patrick Imbert

Miglior sceneggiatura non originale: Albert Dupontel e Pierre Lemaitre per Au revoir là-haut

Miglior sceneggiatura originale: Robin Campillo per 120 battiti al minuto

Miglior film straniero. Loveless di Andrey Zvyagintsev

Miglior documentario: I am not your negro di Raoul Peck

Miglior opera prima: Petit paysan di Hubert Charuel

César 2017: trionfano Isabelle Huppert e Xavier Dolan

0

Si è svolta ieri sera la cerimonia di premiazione dei César 2017, i premi del cinema francese, che hanno visto trionfare nelle categorie principali Xavier Dolan, che si è portato a casa il premio alla migliore regia e ha visto premiato il suo attore protagonista, Gaspar Ulliel, per È solo la fine del mondo e Elle, di Paul Berhoeven, che ha conquistato il premio per il miglior film, con Isabelle Huppert incoronata migliore attrice protagonista.

Ecco tutti i vincitori dei premi César 2017

Best Film

“Elle” produced by Saïd Ben Saïd, Michel Merkt, directed by Paul Verhoeven

Best Director

Xavier Dolan, “It’s Only The End of The World”

Best Actress

Isabelle Huppert, “Elle”

Best Actor

Gaspard Ulliel, “It’s Only The End of The World”

Female Newcomer

Oulaya Amamra, “Divines”

Male Newcomer

Niels Schneider, “Diamant Noir”

Best Supporting Actress

Déborah Lukumuena, “Divines”

Best Supporting Actor

James Thierrée, “Chocolat”

Best First Film

“Divines” directed by Houda Benyamina, produced by Marc-Benoit Créancier

Best Cinematography

Pascal Mart, “Frantz”

Best Adapted Screenplay

Céline Sciamma, “Ma Vie de Courgette”

Best Original Screenplay

Sólveig Anspach, Jean-Luc Gaget, “L’Effet Aquatique”

Best Costumes

Anaïs Romand, “La Danseuse”

Best Production Design

Jérémie D. Lignol, “Chocolat”

Best Editing

Xavier Dolan, “Juste La Fin Du Monde”

Best Sound

Marc Engels, Fred Demolder, Sylvain Réty, Jean-Paul Hurier, “L’Odyssée”

Best Original Music

Ibrahim Maalouf, “Dans Les Forêts De Sibérie”

Best Foreign Film

“I, Daniel Blake” directed by Ken Loach

Best Animated Film

“My Life as a Courgette” directed by Claude Barras, produced by Armelle Glorennec, Eric Jacquot, Marc Bonny

Best Documentary

“Merci Patron !” directed by François Ruffin, produced by Édouard Mauriat, Anne-Cécile Berthomeau, Johanna Silva

César 2017: Elle e Frantz dominano, c’è anche Fuocoammare

0
César 2017: Elle e Frantz dominano, c’è anche Fuocoammare

Sono state annunciate le candidature ai premi César 2017, gli Oscar francesi, in cui, oltre alla presenza italiana con Fuocoammare, segnaliamo anche il trionfo di Elle di Paul Verhoeven e di Frantz di Francois Ozon con 11 candidature,seguiti da Ma Loute di Bruno Dumont, con nove nomination.

Qui tutte le nomination ai César 2017 e a seguire le categorie principali

Miglior Film

Divines

Elle

Frantz

Agnus Dei

Ma Loute

Mal de pierres

Victoria

Miglior regista

Olivier Assayas – Personal Shopper

Houda Benyamina – Divines

Bertrand Bonello – Nocturama

Bruno Dumont – Ma Loute

Alain Guiraudie – Rester vertical

Mia Hansen-Love – L’avenir

Katelle Quillevéré – Riparare i viventi

Paul Verhoeven – Elle

Miglior attrice

Judith Chemla – Une vie

Marion Cotillard – Mal de pierres

Marina Foïs – Irréprochable

Isabelle Huppert – Elle

Sidse Babett Knudsen – 150 milligrammi

Soko – La danseuse

Virginie Efira – Victoria

Miglior attore

François Cluzet – Il medico di campagna

Pierre Deladonchamps – Le Fils de Jean

Nicholas Duvauchelle – Je ne suis pas un salaud

Fabrice Luchini – Ma Loute

Pierre Niney – Frantz

Omar Sy – Chocolat

Gaspard Ulliel – È solo la fine del mondo

César 2016: tutti i vincitori

0
César 2016: tutti i vincitori

Come quasi ogni anno accade, alla vigilia degli Oscar 2016 si svolge la consegna dei Premi César, i premi del cinema francese (l’equivalente d’oltralpe dei David di Donatello o dei BAFTA britannici).

Ecco i vincitori dei César 2016:

Miglior Film: Fatima di Philippe Faucon
Miglior Regista: Arnaud Desplechin per My Golden Days
Miglior Attore: Vincent Lindon per La legge del mercato
Miglior Attrice: Catherine Frot per Marguerite
Miglior Attore non protagonista: Benoît Magimel per A testa alta
Miglior Attrice non protagonista: Sidse Babette Knudsen per La corte
Miglior Attore esordiente: Rob Paradot in A testa alta
Miglior Attrice esordiente: Zita Hanrot in Fatima
Migliore Sceneggiatura: Alice Winocour per Mustang
Miglior Film Straniero: Birdman di Alejandro González Iñárritu
Migliore Opera Prima: Mustang di Deniz Gamze Ergüven
Migliore Sceneggiatura non originale: Fatima
Miglior Cortometraggio: La Contre-allée di Cécile Ducrocq
Miglior Film d’Animazione: Il piccolo principe di Mark Osborne
Miglior Cortometraggio d’Animazione: Le Repas dominical di Céline Devaux
Migliori Musiche: Warren Ellis for Mustang
Migliori Costumi: Pierre-Jean Laroque per Marguerite
Migliore Fotografia: Christophe Offenstein per Valley of Love di Guillaume Nicloux
Miglior Montaggio: Mathilde Van de Moortel per Mustang
Miglior Documentario: Demain di Cyril Dion & Mélanie Laurent
Miglior Sonoro: François Musy and Gabriel Hafner per Marguerite
Migliore Scenografia: Martin Kurel per Marguerite

César 2016: Dheepan e Mustang guidano le nomination

0
César 2016: Dheepan e Mustang guidano le nomination

Sono state annunciate le nomination ai Premi César 2016, gli Oscar che il cinema francese assegna a se stesso. Trai film più nominati ci sono Dheepan e Mustang, film che concorre anche all’Academy Award nella categoria dedicata al miglior film straniero.

Miglior film

Dheepan
Fatima
La loi du marché
Marguerite
Mon roi
Mustang
La tête haute
Trois souvenirs de ma jeunesse

Migliore attrice

Loubna Abidar per Much Loved
Emmanuelle Bercot per La tête haute
Cécile de France per La belle saison
Catherine Deneuve per La Tête haute
Catherine Frot per Marguerite
Isabelle Huppert per Valley of Love
Soria Zeroual per Fatima

Miglior attore
Jean-Pierre Bacri per La vie très privée de Monsieur Sim
Vincent Cassel per Mon roi
François Damiens per Les cowboys
Gérard Depardieu per Valley of Love
Antonythasan Jesuthasan per Dheepan
Vincent Lindon per La loi du marché
Fabrice Lucchini per L’Hermine

Miglior regista

Stéphane Brizet per La loi du marché
Xavier Giannoli per Marguerite
Jacques Audiard per Dheepan
Maïwenn per Mon roi
Deniz Gamze Erguven per Mustang
Emmanuelle Bercot per La Tête haute
Arnaud Desplechin per Trois souvenirs de ma jeunesse

Migliore attrice non protagonista

Sara Forestier per La Tête haute
Agnès Jaoui per Comme un avion
Sidse Babett Knudsen per L’Hermine
Noémie Lvovsky per La belle saison
Karin Viard per 21 nuits avec Pattie

Migliore attore non protagonista

Michel Fau per Marguerite
Louis Garrel per Mon roi
Benoit Magimel per La Tête haute
André Marcon per Maguerite
Vincent Rottiers per Dheepan

Miglior promessa maschile

Swann Arlaud per Les Anarchistes
Quentin Dolmaire per Trois souvenirs de ma jeunesse
Félix Moati per À trois on y va
Finnegan Oldfield per Les Cowboys
Rod Paradot per La Tête haute

Miglior promessa femminile

Lou Roy-Lecollinet per Trois souvenirs de ma jeunesse
Diane Rouxel per La tête haute
Zita Hanrot per Fatima
Sarah Giraudeau per Les Bêtises
Camille Cottin per Connasse, Princesse des coeurs

Miglior sceneggiatura originale

Dheepan
Marguerite
Mustang
La Tête haute
Trois souvenirs de ma jeunesse

Miglior sceneggiatura non originale

L’affaire SK1
Asphalte
L’Enquete
Fatima
Journal d’une femme de chambre

Miglior colonna sonora

Raphael per Les cowboys
Ennio Morricone per En mai fais ce qu’il te plaît
Stephen Warbeck per Mon roi
Warren Ellis per Mustang
Gregoire Hetzel per La belle saison

Migliore opera prima

Thomas Bidegain per Les cowboys
Frédéric Tellier per L’affaire SK1
Deniz Gamze Erguven per Mustang
Clément Cogitore per Ni le ciel ni la terre
Kheiron per Nous trois ou rien

Miglior film straniero

Birdman
Le fils de Saul
Je suis mort mais j’ai des amis
Mia Madre
Taxi Téhéran
Le tout nouveau testament
Youth

Miglior montaggio

Dheepan
Marguerite
Mon roi
Mustang
Trois souvenirs de ma jeunesse

Migliori costumi

Marguerite
Journal d’une femme de chambre
Mustang
L’Odeur de la mandarine
Trois souvenirs de ma jeunesse

Miglior sonoro

Dheepan
Marguerite
Mon Roi
Mustang
Trois souvenirs de ma jeunesse

Miglior fotografia

Dheepan
Marguerite
Mustang
Trois souvenirs de ma jeunesse
Valley of Love

Miglior scenografia

Dheepan
Journal d’une femme de chambre
Marguerite
L’odeur de la mandarine
Trois souvenirs de ma jeunesse

Miglior documentario

Le bouton de nacre
Cavanna, jusqu’à l’ultime seconde, j’écrirai
Demain
L’image manquante
Une jeunesse allemande

Miglior film d’animazione

Adama de Simon Rouby
Avril et le monde truqué de Christian Desmares et Franck Ekinci
Le Petit Prince de Mark Osborne
Meilleur court-métrage
La contre-allée de Cécile Ducrocq
Le dernier des céfrans de Pierre-Emmanuel Urcun
Essaie de mourir jeune de Morgan Simon
Guy Moquet de Demis Herenger
Mon héros de Sylvain Desclous

Miglior cortometraggio d’animazione

La nuit américaine d’Angélique de Pierre-Emmanuel Lyet et Joris Clerté
Le repas dominical de Céline Devaux
Sous tes doigts de Marie-Christine Courtès
Tigres à la queue leu leu de Benoît Chieux

César onorario

Michael Douglas

César 2015: tutti i nominati, tra i due Saint Laurent c’è anche Kristen Stewart

0

Ecco tutte le nomination ai César 2015, gli Oscar francesi. I due contendenti più agguerriti, con il maggior numero di nomination,  sono i due biopic su Yves Saint Laurent, quello di Bertrand Bonello (candidato francese per gli Oscar) e quello di Jalil Lespert, che si aggiudicano 10 e 7 nomination e Les Combattants, opera prima di Thomas Cailley. Ma segnaliamo anche Sils Maria (con tanto di nomination a Kristen Stewart) e ovviamente, nella categoria miglior film straniero, Mommy, di Xavier Dolan, snobbato dall’Academy ma acclamato in tutto il mondo, soprattutto in Francia.

Assente di rilievo Jean Luc Gordard e il suo particolarissimo Addio al Linguaggio.

Ecco tutte le nomination:

César 2015Miglior film
LES COMBATTANTS
EASTERN BOYS
LA FAMILLE BÉLIER
HIPPOCRATE
SAINT LAURENT
SILS MARIA
TIMBUKTU

Miglior regista
Céline Sciamma – BANDE DE FILLES
Thomas Cailley – LES COMBATTANTS
Robin Campillo – EASTERN BOYS
Thomas Lilti – HIPPOCRATE
Bertrand Bonello – SAINT LAURENT
Olivier Assayas – SILS MARIA
Abderrahmane Sissako – TIMBUKTU

Miglior attrice
Juliette Binoche – SILS MARIA
Marion Cotillard – DUE GIORNI, UNA NOTTE
Catherine Deneuve – DANS LA COUR
Emilie Dequenne – PAS SON GENRE
Adèle Haenel – LES COMBATTANTS
Sandrine Kiberlain – ELLE L’ADORE
Karin Viard – LA FAMILLE BÉLIER

Miglior attore
Niels Arestrup – DIPLOMACY – UNA NOTTE PER SALVARE PARIGI
Guillaume Canet – LA PROCHAINE FOIS JE VISERAI LE CŒUR
François Damiens – LA FAMILLE BÉLIER
Romain Duris – UNE NOUVELLE AMIE
Vincent Lacoste – HIPPOCRATE
Pierre Niney – YVES SAINT LAURENT
Gaspard Ulliel – SAINT LAURENT

Miglior attrice non protagonista
Marianne Denicourt – HIPPOCRATE
Claude Gensac – LULU FEMME NUE
Izïa Higelin – SAMBA
Charlotte Le Bon – YVES SAINT LAURENT
Kristen Stewart – SILS MARIA

Miglior attore non protagonista
Eric Elmosnino – LA FAMILLE BÉLIER
Guillaume Gallienne – YVES SAINT LAURENT
Louis Garrel – SAINT LAURENT
Reda Kateb – HIPPOCRATE
Jérémie Renier – SAINT LAURENT

Miglior attrice esordiente
Lou de Laâge – RESPIRE
Louane Emera – LA FAMILLE BÉLIER
Joséphine Japy – RESPIRE
Ariane Labed – FIDELIO, L’ODYSSÉE D’ALICE
Karidja Touré – BANDE DE FILLES

Miglior attore esordiente
Kévin Azaïs – LES COMBATTANTS
Ahmed Dramé – LES HÉRITIERS
Kirill Emelyanov – EASTERN BOYS
Pierre Rochefort – UN BEAU DIMANCHE
Marc Zinga – QU’ALLAH BÉNISSE LA FRANCE

Miglior sceneggiatura originale
Thomas Cailley, Claude Le Pape – LES COMBATTANTS
Victoria Bedos, Stanislas Carré de Malberg, Eric Lartigau, Thomas Bidegain – LA FAMILLE BÉLIER
Thomas Lilti, Baya Kasmi, Julien Lilti, Pierre Chosson – HIPPOCRATE
Olivier Assayas – SILS MARIA
Abderrahmane Sissako, Kessen Tall – TIMBUKTU

Miglior sceneggiatura non originale
Mathieu Amalric, Stéphanie Cléau – LA CHAMBRE BLEUE
Cyril Gely, Volker Schlöndorff – DIPLOMACY – UNA NOTTE PER SALVARE PARIGI
Sólveig Anspach, Jean-Luc Gaget – LULU FEMME NUE
Lucas Belvaux – PAS SON GENRE
Cédric Anger – LA PROCHAINE FOIS JE VISERAI LE CŒUR

Miglior colonna sonora
Jean-Baptiste de Laubier – BANDE DE FILLES
Béatrice Thiriet – BIRD PEOPLE
Lionel Flairs, Benoît Rault, Philippe Deshaies pour le groupe HiTnRuN – LES COMBATTANTS
Amine Bouhafa – TIMBUKTU
Ibrahim Maalouf – YVES SAINT LAURENT

Miglior sonoro
Pierre André, Daniel Sobrino – BANDE DE FILLES
Jean-Jacques Ferran, Nicolas Moreau, Jean-Pierre Laforce – BIRD PEOPLE
Jean-Luc Audy, Guillaume Bouchateau, Niels Barletta – LES COMBATTANTS
Nicolas Cantin, Nicolas Moreau, Jean-Pierre Laforce – SAINT LAURENT
Philippe Welsh, Roman Dymny, Thierry Delor – TIMBUKTU

Miglior fotografia
Christophe Beaucarne – LA BELLA E LA BESTIA
Josée Deshaies – SAINT LAURENT
Yorick Le Saux – SILS MARIA
Sofian El Fani – TIMBUKTU
Thomas Hardmeier – YVES SAINT LAURENT

Miglior montaggio
Lilian Corbeille – LES COMBATTANTS
Christel Dewynter – HIPPOCRATE
Frédéric Baillehaiche – PARTY GIRL
Fabrice Rouaud – SAINT LAURENT
Nadia Ben Rachid – TIMBUKTU

Migliori costumi
Pierre-Yves Gayraud – LA BELLE ET LA BÊTE
Carine Sarfati – LA FRENCH
Anaïs Romand – SAINT LAURENT
Pascaline Chavanne – UNE NOUVELLE AMIE
Madeline Fontaine – YVES SAINT LAURENT

Migliori scenografie
Thierry Flamand – LA BELLA E LA BESTIA
Jean-Philippe Moreaux – LA FRENCH
Katia Wyszkop – SAINT LAURENT
Sebastian Birchler – TIMBUKTU
Aline Bonetto – YVES SAINT LAURENT

Miglior opera prima
LES COMBATTANTS
ELLE L’ADORE
FIDELIO, L’ODYSSÉE D’ALICE
PARTY GIRL
QU’ALLAH BÉNISSE LA FRANCE

Miglior film straniero
12 ANNI SCHIAVO
BOYHOOD
DUE GIORNI, UNA NOTTE
GRAND BUDAPEST HOTEL
IDA
MOMMY
WINTER SLEEP

Miglior film d’animazione
LE CHANT DE LA MER (lungometraggio)
JACK ET LA MÉCANIQUE DU CŒUR (lungometraggio)
MINUSCULE – LA VALLÉE DES FOURMIS PERDUES (lungometraggio)
BANG BANG ! (cortometraggio)
LA BÛCHE DE NOËL (cortometraggio)
LA PETITE CASSEROLE D’ANATOLE (cortometraggio)
LES PETITS CAILLOUX (cortometraggio)

Miglior documentario
CARICATURISTES – FANTASSINS DE LA DÉMOCRATIE
LES CHÈVRES DE MA MÈRE
LA COUR DE BABEL
NATIONAL GALLERY
IL SALE DELLA TERRA

Miglior cortometraggio
AÏSSA
LA FEMME DE RIO
INUPILUK
LES JOURS D’AVANT
OÙ JE METS MA PUDEUR
LA VIRÉE À PANAME

César 2014: tutte le nomination

0

César 2014Annunciate le nomination dei César 2014, più importante premio del cinema francese, equivalente ai nostri David. Fra i candidati spiccano ovviamente La vita di Adele, Tutto sua madre e Venere in pelliccia di Polanski. 

MIGLIORE ATTRICE
Fanny Ardant – LES BEAUX JOURS
Bérénice Bejo – IL PASSATO
Catherine Deneuve – ELLE S’EN VA
Sara Forestier – SUZANNE
Sandrine Kiberlain – 9 MOIS FERME
Emmanuelle Seigner -VENERE IN PELLICCIA
Léa Seydoux – LA VITA DI ADELE

MIGLIORE ATTORE
Mathieu Amalric – VENERE IN PELLICCIA
Michel Bouquet – RENOIR
Albert Dupontel – 9 MOIS FERME
Grégory Gadebois – MON ÂME PAR TOI GUÉRIE
Guillaume Gallienne – TUTTO SUA MADRE
Fabrice Luchini – MOLIERE IN BICICLETTA
Mads Mikkelsen – MICHAEL KOHLHAAS

MIGLIORE ATTRICE NON PROTAGONISTA
Marisa Borini – UN CASTELLO IN ITALIA
Françoise Fabian – TUTTO SUA MADRE
Julie Gayet – QUAI D’ORSAY
Adèle Haenel – SUZANNE
Géraldine Pailhas – GIOVANE E BELLA

MIGLIORE ATTORE NON PROTAGONISTA
Niels Arestrup – QUAI D’ORSAY
Patrick Chesnais – LES BEAUX JOURS
Patrick D’Assumçao – LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
François Damiens – SUZANNE
Olivier Gourmet – GRAND CENTRAL

MIGLIOR SORPRESA FEMMINILE
Lou de Laâge – JAPPELOUP
Pauline Etienne – LA RELIGIOSA
Adèle Exarchopoulos – LA VITA DI ADELE
Golshifteh Farahani – SYNGUÉ SABOUR – PIERRE DE PATIENCE
Marine Vacth – GIOVANE E BELLA

MIGLIOR SORPRESA MASCHILE
Paul Bartel – LES PETITS PRINCES
Pierre Deladonchamps – LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
Paul Hamy – SUZANNE
Vincent Macaigne – LA FILLE DU 14 JUILLET
Nemo Schiffman – ELLE S’EN VA

MIGLIORE SCENEGGIATURA ORIGINALE
Albert Dupontel – 9 MOIS FERME
Philippe Le Guay – MOLIERE IN BICICLETTA
Alain Guiraudie – LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
Asghar Farhadi – IL PASSATO
Katell Quillévéré, Mariette Désert – SUZANNE

MIGLIORE SCENEGGIATURA NON ORIGINALE
Guillaume Gallienne – TUTTO SUA MADRE
Arnaud Desplechin, Julie Peyr, Kent Jones – JIMMY P. (PSYCHOTHÉRAPIE D’UN INDIEN DES PLAINES)
Antonin Baudry, Christophe Blain, Bertrand Tavernier – QUAI D’ORSAY
David Ives, Roman Polanski – VENERE IN PELLICCIA
Abdellatif Kechiche, Ghalya Lacroix – LA VITA DI ADELE

MIGLIOR COLONNA SONORA
Jorge Arriagada – MOLIERE IN BICICLETTA
Loïk Dury, Christophe “Disco” Minck – CASSE-TËTE CHINOIS
Etienne Charry – MOOD INDIGO
Martin Wheeler – MICHAEL KOHLHAAS
Alexandre Desplat – VENERE IN PELLICCIA

MIGLIOR SONORO 
TUTTO SUA MADRE
LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
MICHAEL KOHLHAAS
VENERE IN PELLICCIA
LA VITA DI ADELE

MIGLIORE FOTOGRAFIA
L’EXTRAVAGANT VOYAGE DU JEUNE ET PRODIGIEUX T.S. SPIVET
LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
MICHAEL KOHLHAAS
RENOIR
LA VITA DI ADELE

MIGLIOR MONTAGGIO
9 MOIS FERME
TUTTO SUA MADRE
LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
IL PASSATO
LA VITA DI ADELE

MIGLIORI COSTUMI
MOOD INDIGO
L’EXTRAVAGANT VOYAGE DU JEUNE ET PRODIGIEUX T.S. SPIVET
TUTTO SUA MADRE
MICHAEL KOHLHAAS
RENOIR

MIGLIORI SCENOGRAFIE
MOOD INDIGO
L’EXTRAVAGANT VOYAGE DU JEUNE ET PRODIGIEUX T.S. SPIVET
TUTTO SUA MADRE
MICHAEL KOHLHAAS
RENOIR

MIGLIOR REGISTA
Albert Dupontel – 9 MOIS FERME
Guillaume Gallienne – TUTTO SUA MADRE
Alain Guiraudie – LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
Arnaud Desplechin – JIMMY P. (PSYCHOTHÉRAPIE D’UN INDIEN DES PLAINES)
Asghar Farhadi – IL PASSATO
Roman Polanski – VENERE IN PELLICCIA
Abdellatif Kechiche – LA VITA DI ADELE

MIGLIOR CORTOMETRAGGIO
AVANT QUE DE TOUT PERDRE
BAMBI
LA FUGUE
LES LÉZARDS
MARSEILLE LA NUIT

MIGLIOR FILM D’ANIMAZIONE
AYA DE YOPOUGON
LETTRES DE FEMMES (Court Métrage)
LOULOU L’INCROYABLE SECRET
MA MAMAN EST EN AMÉRIQUE, ELLE A RENCONTRÉ BUFFALO BILL
MADEMOISELLE KIKI ET LES MONTPARNOS (Court Métrage)

MIGLIOR DOCUMENTARIO
COMMENT J’AI DÉTESTÉ LES MATHS
LE DERNIER DES INJUSTES
IL ÉTAIT UNE FORÊT
LA MAISON DE LA RADIO
VADO A SCUOLA

MIGLIOR FILM STRANIERO
ALABAMA MONROE – Félix Van Groeningen
BLANCANIEVES – Pablo Berger
BLUE JASMINE – Woody Allen
DEAD MAN TALKING – Patrick Ridremont
DJANGO UNCHAINED – Quentin Tarantino
LA GRANDE BELLEZZA – Paolo Sorrentino
GRAVITY – Alfonso Cuarón

MIGLIOR FILM D’ESORDIO
LA BATAILLE DE SOLFÉRINO – Justine Triet
LA CAGE DORÉE – Ruben Alves
IN SOLITARIO – Christophe Offenstein
LA FILLE DU 14 JUILLET – Antonin Peretjatko
TUTTO SUA MADRE – Guillaume Gallienne

MIGLIOR FILM
9 MOIS FERME
TUTTO SUA MADRE
LO SCONOSCIUTO DEL LAGO
JIMMY P. (PSYCHOTÉRAPIE D’UN INDIEN DES PLAINES)
IL PASSATO
VENERE IN PELLICCIA
LA VITA DI ADELE

 

 Fonte: CS.it

César 2014: trionfa Tutto sua madre

0

César 2014Si è tenuta ieri sera la cerimonia di premiazione dei César, gli oscar francesi, che ha visto trionfare con cinque premi assegnati, tra cui miglior film e miglior attore, Tutto sua Madre, l’esordio di Guillaume Gallienne (leggi la recensione del film). Torna a casa a mani vuote Sorrentino, o meglio resta a mani vuote perchè non è a casa, è a Los Angeles, dove proverà a portarsi davvero a casa l’Oscar per il miglior film straniero. Certo l’Académie dei César ha preferito premiare il belga Alabama Monroe, che pure concorrerà agli Oscar nella stessa categoria della Grande Bellezza, ma Paolo non si deve scoraggiare, parte comunque da favorito.

Quello che forse è il più bel film dell’anno, ovvero La vita di Adele, è stato invece ignorato, con l’eccezione del premio dovuto ad Adele Exarchopoulos per la migliore attrice emergente. Kechiche sembra non aver tratto giovamento dalle polemiche intorno al suo film, e nemmeno il suo pur bellissimo film. Il premio per la migliore regia è stato invece assegnato al maestro Roman Polanski.

Tra le facce internazionali presenti, Quentin Tarantino era nominato per il miglior fim straniero con Django Unchained, ma ha dimostrato interesse per la serata (fonte CS) solo quando Scarlett Johansson ha ricevuto un César onorario.

Ecco di seguito la lista completa dei vincitori:

Opera prima: Tutto sua madre di Guillaume Gallienne

Documentario: Vado a scuola di Pascal Plisson

Film straniero: Alabama Monroe di Félix Van Groeningen

Scenografia: Stéphane Rozenbaum per Mood Indigo

Costumi: Pascaline Chavanne per Renoir

Montaggio: Valérie Deseine per Tutto sua madre

Fotografia: Thomas Hardmeier per L’Extravagant voyage du jeune et prodigieux T.S. Spivet

César 2014Sceneggiatura non originale: Guillaume Gallienne per Tutto sua madre

Sceneggiatura: Albert Dupontel per 9 mois ferme

Attore emergente: Pierre Deladonchamps per Lo sconosciuto del lago

Attrice emergente: Adèle Exarchopoulos per La vita di Adele

Attore non protagonista: Niels Arestrup per Quai d’Orsay

Attrice non protagonista: Adèle Haenel per Suzanne

Attore: Guillaume Gallienne per Tutto sua madre

Attrice: Sandrine Kiberlain per 9 mois ferme

Regia: Roman Polanski per Venere in pelliccia

Film: Tutto sua madre

César 2012: nuovo trionfo per The Artist

0

The Artist ha di nuovo fatto incetta di premi: stavolta l’occasione sono i César 2012,  massimo riconoscimento del cinema francese, che sono stati consegnati ieri sera a Parigi.

Il film muto di Michel Hazanavicius ha conquistato quasi tutte le categorie principali ovvero film, regia, attrice (Berenice Bejo), fotografia (Guillaume Schiffman), scenografia (Laurence Bennett) e colonna sonora (Ludovic Bource): a restare a mani vuote è stato invece Jean Dujardin, al quale è stato a sorpresa preferito Omar Sy, protagonista del film campione d’incassi in patria Quasi amici (Intouchables). Difficile ormai non immaginare chi sarà il trionfatore alla cerimonia degli Oscar 2012 che si terrà domani sera a Los Angeles.

Il premio per il miglior film straniero è andato invece a Una separazione, altro grande favorito nella corsa alla statuetta.

César 2011: i premiati

0

Uomini_di_Dio

Un po’ in ombra rispetto ai più prestigiosi e ‘ricchi’ Oscar, sono stati assegnati anche i César, i premi che si assegnano al meglio del cinema in Francia.

Cerveteri Film Festival: si apre con George Romero e Dunkirk

0
Cerveteri Film Festival: si apre con George Romero e Dunkirk

Dal 28 settembre al 1° ottobre si svolgerà in Cerveteri Film Festival, con la direzione artistica di Boris Sollazzo. Tra gli ospiti Daniele Vicari e Roberto Recchioni.

Il cinema è vita, quindi niente di meglio che una necropoli etrusca come location per celebrare entrambe le cose. È quello che accadrà a Cerveteri dal 28 settembre al 1° ottobre, quando la suggestiva cornice della Necropoli della Banditaccia verrà illuminata dalla luce di un proiettore e da uno schermo cinematografico. E seppure alla prima edizione, un record è già infranto, quello di essere il primo festival cinematografico che ha come location un sito riconosciuto dall’UNESCO come patrimonio culturale dell’umanità.

Comincia quindi nel migliore dei modi l’avventura del Cerveteri Film Festival, neonata manifestazione cinematografica che si pone come obiettivo quello di mantenere viva la memoria dell’essenza stessa del cinema: la pellicola. Sotto la direzione artistica di Boris Sollazzo, sarà questo il percorso che il festival svilupperà.

Siamo al primo passo, ma gli obiettivi sono molti, a partire dalla creazione di un polo museale internazionale che racconti la storia della pellicola. Questa edizione è un trailer di quello che diventerà un kolossal”.

Si parte in maniera straordinaria il 28 settembre, celebrando un grande cineasta da poco scomparso. Sarà infatti La notte dei morti viventi di George A. Romero ad aprire il festival, una splendida proiezione messa a disposizione da Minerva Distribuzione e Raro Video. Il film sarà preceduto da One for the Fire: the legacy of Night of the Living Dead, sorprendente documentario sulla realizzazione del capolavoro di Romero.

Tra le due proiezioni, una toccante commemorazione. Il Cerveteri Film Festival ha istituito un premio alla memoria del giornalista cinematografico Luca Svizzeretto, scomparso dopo una lunga malattia il 28 settembre del 2016. Amatissimo da tutta la grande famiglia del cinema italiano, a un anno esatto dall’ultimo saluto, la prima edizione del Premio Luca Svizzeretto verrà consegnata a Nicola Nocella, protagonista di Easy – Un viaggio facile facile, e uno degli attori di maggiore talento della nostra cinematografia degli ultimi anni.

Parlando di talento, è indiscusso quello di Daniele Vicari. Il regista di Diaz e del recente Sole, cuore, amore presenterà venerdì 29 settembre Il mio paese, intervistato da Arianna Ciampoli con l’aiuto di Boris Sollazzo (come avverrà anche con tutti gli altri ospiti) a cui farà seguito L’Italia non è un paese povero, lo straordinario film di Joris Ivens che ha ispirato il documentario di Vicari. Per il film di Ivens si ringrazia la Cineteca Nazionale per la preziosa collaborazione.

Sabato 30 settembre si celebrerà il cinema in ogni senso, perché ci si sposterà per una sera nel nuovissimo Cinema Moderno di Cerveteri, che torna alla vita e lo fa nel migliore dei modi, presentando al pubblico del festival Dunkirk, il capolavoro di Christopher Nolan, che sarà introdotto dallo scrittore e sceneggiatore, nonché curatore della testata della Sergio Bonelli Editore Dylan Dog, Roberto Recchioni.

Si chiude domenica 1° ottobre con Massimiliano Bruno che presenterà il suo film d’esordio, Nessuno mi può giudicare, e la copia 35mm, in questo caso, sarà la sua: racconterà il rapporto “fisico” che un cineasta ha con le sue “pizze”. Una chiusura all’insegna del cinema italiano, per celebrarne la vitalità in un anno che ha visto tante piacevoli sorprese, tra bei film e nuovi festival.

Cerveteri Film Festival 2018: l’omaggio a Giuliano Gemma e il cinema di Montaldo

0

Dopo il successo dell’edizione pilota del settembre 2017, il Cerveteri Film Festival celebra il suo secondo anno con un ricchissimo programma. Da giovedì 22 a domenica 25 novembre, quattro giorni di grande cinema d’autore, con proiezioni, ospiti d’eccezione e dibattiti, che si alterneranno tra l’Aula Consiliare del Granarone e il Cinema Moderno, anche quest’anno con la direzione artistica del critico e giornalista Boris Sollazzo.

Quando lo scorso settembre, nella suggestiva location della Necropoli della Banditaccia, abbiamo dato vita alla prima edizione del Cerveteri Film Festival, si è realizzato un sogno: la magia del cinema in pellicola unito alla nostra città” ha dichiarato Alessio Pascucci, Sindaco di Cerveteri.

Il festival parte con un omaggio fortemente voluto, quello a Giuliano Gemma, attore amatissimo dal pubblico italiano, venuto a mancare il 1° ottobre 2013. Gemma ha vissuto per molti anni a Cerveteri.

Il ricordo di Giuliano Gemma è vivo nel cuore dei Cerveterani” afferma commosso il sindaco Pascucci. “Era un amico della nostra città, nella quale aveva scelto di vivere e di coltivare le sue passioni. Lo scorso anno, al termine della prima edizione, ci eravamo lasciati con la promessa di celebrarlo all’interno del festival, che sono certo lui avrebbe apprezzato, così come sono sicuro che avrebbe dato il suo contributo. Sarà un modo per ricordare e omaggiare un uomo e un artista che ha lasciato un grande ricordo, umano e professionale”.

L’occasione per celebrare Giuliano Gemma coinciderà con l’apertura del festival, giovedì 22 novembre, con la proiezione in pellicola del film Un uomo in ginocchio, di Damiano Damiani. Alla serata sarà presente la giornalista Baba Richerme, seconda moglie dell’attore.

Venerdì 23 novembre il festival darà il benvenuto a Giuliano Montaldo, uno dei più grandi cineasti italiani, che presenterà al pubblico Sacco e Vanzetti, uno dei suoi film più importanti, nella versione restaurata dalla dalla Cineteca di Bologna. Il film vede protagonisti Gian Maria Volontè e Riccardo Cucciolla, ed è noto anche per la canzone Here’s to You, che Joan Baez scrisse appositamente per il film, sulle musiche di Ennio Morricone.

Nella stessa sera verrà assegnato il Premio Luca Svizzeretto, in memoria del giornalista prematuramente scomparso il 28 settembre 2016. Dopo Nicola Nocella, sarà l’attore e regista Guglielmo Poggi a ricevere il riconoscimento. Poggi è stato quest’anno il protagonista di Il Tuttofare, al fianco di Sergio Castellitto.

Sabato 24 novembre ancora grande cinema in pellicola alla Sala Consiliare, con la versione restaurata, a cura della Cineteca Nazionale, de Il deserto dei tartari, capolavoro di Valerio Zurlini. Al Cinema Moderno, invece, si anticipa la fine dell’anno. Alle 18:00 con L’ultimo capodanno, il film “maledetto” e bellissimo di Marco Risi, introdotto dal regista stesso, tratto dal racconto “L’ultimo capodanno dell’umanità” di Niccolò Ammaniti. Alle 21:00 si dovrà rispondere alla più terribile delle domande: Che fai a Capodanno? Qui sotto forma di commedia diretta da Filippo Bologna e con protagonisti Luca Argentero, Ilenia Pastorelli e Alessandro Haber. Sarà lo stesso regista a raccontarlo al pubblico di Cerveteri.

La giornata di domenica 25 novembre si aprirà con una vera chicca per intenditori e collezionisti del cinema in pellicola. In collaborazione con Cinema in Pellicola, il Cerveteri Film Festival farà un suo speciale omaggia a Stan Lee, il leggendario sceneggiatore dei fumetti Marvel, scomparso lo scorso 12 novembre. Alle ore 18:00 nella Sala Consiliare verrà proiettato, in formato Super 8, Spider-man, il film del 1977, un classico per tutti gli appassionati di fumetti e di cultura pop. Dopo la proiezione ci sarà un incontro con Flavio Della Rocca, giornalista cinematografico e grande collezionista di film in pellicola, che racconterà al pubblico il progetto Cinema in Pellicola.

A seguire, alle 20:00, inizierà la serata dedicata a una grande autrice italiana. E sarà la stessa Costanza Quatriglio a presentare, sempre presso la Sala Consiliare, L’isola, uno dei suoi film più belli, copia in pellicola messa a disposizione dalla Cineteca di Bologna. Alle 21:00, al Cinema Moderno, sarà invece la volta di Sembra mio figlio, il suo ultimo film, presentato con straordinario successo all’ultimo Locarno Festival.

Programma ricchissimo, quindi, ma non è tutto. Il Cerveteri Film Festival da quest’anno ha anche il suo concorso internazionale, dedicato a cortometraggi che abbiano come tema centrale il cinema classico e la storia del cinema. Una scelta che abbraccia il tema portante della manifestazione, ovvero quello della celebrazione e della memoria di una forma tecnica e artistica dell’arte cinematografica oggi superata dall’avvento del digitale, ma che non si può e non si deve dimenticare. Perché, come per tutte le cose, ricordare e tramandare è fondamentale.

Promuovere il grande cinema valorizzando allo stesso tempo il nostro patrimonio storico, artistico e culturale” ha dichiarato Federica Battafarano, Assessora alle Politiche Culturali del Comune di Cerveteri. “Questo è l’obiettivo del Cerveteri Film Festival, una rassegna che vogliamo diventi un appuntamento fisso dell’offerta culturale della nostra città”.

Il Cerveteri Film Festival è sostenuto dal MIBAC, Regione Lazio e Comune di Cerveteri.

IL PROGRAMMA

Giovedì 22 Novembre 2018

OMAGGIO A GIULIANO GEMMA

SALA CONSILIARE

20.00
Concorso Internazionale Cortometraggi:
Il Primo Cinema della Storia: obiettivo sul Paleolitico. Fuoco, Movimento, Colore – 11’
Interviene il regista Igor Imhoff

CORTO IN CORTO regia Gianni Ippoliti – 6’
Interviene il regista

MMM Movies Make Money – 12’
Regia Andrea Ferrari
Interviene l’attore Fabrizio Romagnoli

POSTO UNICO – 20’
Intervengono i registi Mauro Piacentini e Andrea Borgia

A seguire:
Omaggio a Giuliano Gemma
UN UOMO IN GINOCCHIO – Copia in 35 mm fornita dalla Cineteca Nazionale – 105’
Interviene la giornalista Baba Richerme

Venerdì 23 Novembre 2018

IL CINEMA DI GIULIANO MONTALDO

CASE GRIFONI – PIAZZA SANTA MARIA

Dalle ore 16:00 alle 18:00 apertura della mostra archeologica “Il Patrimonio ritrovato. Le storie del recupero e i predatori dell’arte” che espone reperti recuperati dai Carabinieri Tutela del Patrimonio dal traffico illecito delle opere d’arte.

SALA CONSILIARE

20.00
Concorso Internazionale Cortometraggi:

GOOD BYE MARILYN – 13’
regia Maria di Razza

CALL ME ALVY (UK, 2017) – 10’
Regia di Alexei Slater

SWEETHEART- 8’
regista Marco Spagnoli

20.30
SACCO E VANZETTI (1971) Copia in 35 mm fornita dalla Cineteca Nazionale – 120’

CINEMA MODERNO

18.00
SACCO E VANZETTI – Versione restaurata dalla Cineteca di Bologna
Interviene il regista Giuliano Montaldo

20.30
PREMIO LUCA SVIZZERETTO
All’attore Guglielmo Poggi

A seguire
L’INDUSTRIALE – 94’
Interviene il regista Giuliano Montaldo

Sabato 24 Novembre 2018

SALA CONSILIARE

18.00
Omaggio a Giuliano Gemma
IL DESERTO DEI TARTARI – Copia in 35 mm fornita dalla Cineteca Nazionale – 150’
Regia Valerio Zurlini, 1976

CINEMA MODERNO
18.00
L’ULTIMO CAPODANNO – 103’
regia Marco Risi, 1998
Distribuzione ISTITUTO LUCE

20.00
Concorso Internazionale Cortometraggi:

CANI DI RAZZA – 20’
Intervengono: registi Riccardo Antonaroli e Matteo Nicoletta

LILIANA – 20’
Regia Emanuele Pellecchia
Intervengono il regista Emanuele Pellecchia, e Luna Cecilia Kwok, autrice della colonna sonora e della grafica

20.30- Incontro con il regista Filippo Bologna e l’interprete Alessandro Haber

21.00- Proiezione CHE FAI A CAPODANNO? Di Filippo Bologna (2018) – 95’

Domenica 25 Novembre 2018
IL CINEMA DI COSTANZA QUATRIGLIO

SALA CONSILIARE

18.00
Omaggio a Stan Lee
L’Uomo Ragno – 90’ – super 8
diretto da E. W. Swackhamer, 1977

L’Uomo Ragno colpisce ancora – 90’ – super 8
diretto da Ron Slatof, 1978

proiezioni in collaborazione con Cinema in Pellicola
Interviene Flavio Della Rocca, collezionista e giornalista

21:30
L’ISOLA – Copia in 35 mm fornita dalla Cineteca di Bologna – 103’
Interviene la regista Costanza Quatriglio

CINEMA MODERNO
21.00
PREMIAZIONE CONCORSO INTERNAZIONALE CORTOMETRAGGI CFF
Alla presenza della Giuria
Anna Bellato, attrice
Eva Basteiro Bertolì, attrice musicista italo spagnola
Adele Budina, produttrice
Selene Caramazza, attrice

A seguire
SEMBRA MIO FIGLIO, 2018 – 103’
Interviene la regista Costanza Quatriglio

Cerulia, il cortometraggio di Sofia Carrillo

Cerulia, il cortometraggio di Sofia Carrillo

Nella scena contemporanea dell’animazione stop-motion non esistono solamente dei colossi come Laika o Aardman, ma anche piccole realtà che nulla hanno da invidiare ai risultati ottenuti con produzioni multimilionarie destinate alla più ampia distribuzione cinematografica. Questa forma particolare di animazione si è rivelata particolarmente consona alla sperimentazione espressiva e all’introspezione, velandosi il più delle volte di un alone macabro e perturbante. Autori come Wes Anderson o Charlie Kauffman, hanno dimostrato che la stop-motion è uno dei mezzi più originali per caratterizzare fortemente  le proprie opere, giocando con stilemi ed elementi particolari della propria poetica.

In questo panorama, in pieno fermento creativo,  le novità più interessanti provengono dall’ambiente latino americano e in particolare dal Messico, dove si sta verificando da qualche anno un vero e proprio Rinascimento a passo uno.

Tra i tanti autori spicca Sofia Carrillo, autrice del meraviglioso Cerulia, un cortometraggio di pochi minuti che richiama per strambi giochi di associazione visiva l’inquietudine e le atmosfere di The Orphanage e le affabulazioni visive di Guillermo Del Toro, nonché gli echi irrinunciabili dei grandi maestri Jan Svankmajer e i Quay Brothers.

Sofia Carrillo, che già aveva dato prova della sua sensibilità con Prita Noire (2011), con Cerulia gioca delicatamente all’interno di una fiaba inquietante che ruota attorno ai ricordi repressi di una giovane donna che torna dopo tanto tempo nella sua casa d’infanzia messa in vendita. Il ricordo dei suoi nonni e di tanti elementi legati a quando era bambina la costringeranno a compiere un piccolo ma profondo viaggio all’interno di se stessa.

Il cortometraggio è un sogno delicato che a tratti assume le sfumature dell’allucinazione, fino all’incubo. Descrive in maniera poetica e intima  le paure dell’infanzia e gli attaccamenti familiari. Sofia Carrillo si identifica enormemente con il personaggio di Cerulia, nome che un giorno le è balenato nella testa e non ha più voluto andarsene. Sostiene che questo piccolo film è un viaggio verso la sua infanzia calato in atmosfere, spazi e paure molto specifici, profondi, personali.  Tocca anche il tema del doppio, dei gemelli, del singolo che a volte è convinto di avere un suo corrispettivo speculare, tema ricorrente nel suo lavoro.

La regista afferma che Cerulia diviene paradossalmente vittima di se stessa, che si trova costretta ad affrontare la questione delle dipendenze dal passato e l’idea  che le decisioni prese durante la vita degli antenati possano poi influire spesso sulla sorte dei discendenti.

Cerulia è basato su una storia sui nonni che Sofia Carrillo aveva scritto quando aveva 17 anni. Ricorda che iniziò a elaborarla alla morte del nonno e che venne fuori quasi spontaneamente, di getto, in un meccanismo liberatorio di elaborazione di una perdita così grande.

I bellissimi burattini sono stati realizzati da León e Mar Fernández con il laboratorio Humanimalia Puppetry Studio. La voce di tutti i personaggi della storia appartiene all’attrice Diana Bracho.

La produzione di Cerulia è durata due anni ed è stata supportata finanziariamente da IMCINE (Istituto Messicano di Cinematografia). La società di produzione è Nahuyaca Films. Il cortometraggio è stato presentato nei maggiori festival di tutto il mondo e raccolto consensi e critiche considerevoli, nonché un numero altissimo di premi.

Sofia Carrillo
Sofia Carrillo

Trailer su VIMEO

Cercasi amore per la fine del mondo: recensione del film Lorene Scafaria

Uscirà nelle sale italiane il prossimo 17 gennaio questo primo lavoro alla regia della sceneggiatrice Lorene Scafaria (Nick &Nora, Tutto accadde in una notte). Cercasi amore per la fine del mondo è una simpatica commedia “apocalittica”, forse unica nel suo genere, in quanto affronta l’ormai ricorrente tema della fine del mondo non incentrando la storia sulla spettacolarità o la drammaticità dell’evento, quanto sulle probabili e ipotizzabili reazioni della gente più comune.

Cercasi amore per la fine del mondo, la trama

La radio annuncia che l’ultimo tentativo per fermare un asteroide largo 110 chilometri e in procinto di schiantarsi sulla Terra è fallito, la fine del mondo è ormai certa, ventuno giorni all’impatto imminente. Appena saputa la notizia il tranquillo e ordinario agente assicurativo Dodge (Steve Carrell) viene lasciato dalla moglie e inerte assiste alla follia collettiva che impazza per le strade della città. Come se nulla fosse continua a vivere la sua solita noiosa vita sino a quando, una sera, incontrerà la persona che lo desterà dal suo torpore. Lei è Penny (Keira Knightley) giovane ed eccentrica vicina di casa con cui non si era mai parlato e che sogna di raggiungere la famiglia in Inghilterra per trascorrere con i suoi genitori le ultime ore prima della fine.

Quando la ragazza gli consegna una lettera di Olivia, primo e unico amore di Dodge, recapitata a lei per sbaglio mesi prima, i due stringono un patto: se mi accompagni con l’auto da Olivia, giura Dodge, io ti porterò da chi ti potrà condurre in aereo dai tuoi cari. Inizierà così un assurdo viaggio attraverso il paese impazzito nell’attesa del fatale evento durante il quale i due protagonisti avranno modo di conoscersi meglio facendo un bilancio della loro vita ormai giunta ai giorni finali.

Cosa faremmo negli ultimi 21 giorni della nostra vita se fossimo certi della fine? Come reagiremmo ad una notizia del genere? Alla regista non interessa mostrarci le solite sequenze di Cape Canaveral o proporci i soliti eroi pronti al sacrificio per salvare l’umanità intera, nel suo film il protagonista è l’uomo comune, il cittadino qualunque che di fronte alla morte ormai prossima perde tutti i pudori e le inibizioni , lascia libero sfogo alla sua follia oppure non fa nulla e continua a vivere come sempre proprio come Dodge, lo stralunato protagonista della storia.

Steve Carrell interpreta con efficacia un personaggio schivo e volutamente spento il quale si rende conto troppo tardi di non aver vissuto la vita che avrebbe voluto cercando sempre la strada più semplice e sicura a scapito della felicità vera. Ad aprirgli gli occhi sarà Penny, vivace ed estroversa ragazza amante dei vecchi vinili interpretata da una brava Keira Knightley la quale si strugge al pensiero di aver dedicato troppi anni della sua vita a uomini che quel tempo non meritavano trascurando al contrario gli affetti più importanti.

Cercasi amore per la fine del mondo è una commedia simpatica e a tratti divertente dove non sempre la sceneggiatura, e i dialoghi in particolare, propongono un’ ironia valida e convincente. La narrazione alla lunga appare eccessivamente improbabile ed intricata, mostrandosi in alcuni punti scontata e poco credibile, ma al di là di questo, il film ha una sua profondità e concede momenti di riflessione e intimità che non faticheranno a commuovere gli spettatori più sensibili.

I due protagonisti sono validi e stimolati dai recenti riconoscimenti anche se i loro personaggi non potrebbero essere più diversi e lontani, quasi agli antipodi. Che nella realtà avrebbero trovato la stessa affinità che nasce nel film appare davvero poco probabile, ma fortunatamente la realtà non sempre supera la fantasia.

Cercando Alaska: la regia affidata a Rebecca Thomas

0
colpa-delle-stelle-1
Colpa delle stelle di Josh Boone, adattamento cinematografico dell’omonimo romanzo di John Green

Cercando Alaska, primissimo libro di John Green, nome di punta della letteratura young adult, diventa un film per la Paramount, che aveva già opzionato il libro nel 2005 ma si è decisa a procedere con l’adattamento per il grande schermo solo dopo il planetario successo di Colpa delle stelle. In attesa di scoprire l’imminente Città di carta con Nat Wolff e Cara Delevingne, in uscita a luglio in America, la regia di Cercando Alaska è stata affidata alla giovane newcomer Rebecca Thomas, che alle spalle ha un solo lungometraggio Electrick Children del 2012.

Un nome nuovo dietro alla macchina da presa, dunque, ma un team ben collaudato a presiedere il progetto, formato dalla Temple Hill Entertainment e dagli sceneggiatori Scott Neustadter e Michael H. Weber, già autori delle sceneggiature dei precedenti adattamenti dei romanzi di Green e anche produttori esecutivi della pellicola.

La storia si concentrerà sul sedicenne Miles Halter che lascia la Florida per seguire il terzo anno in una prestigiosa scuola preparatoria dell’Alabama, dove incontrerà e si innamorerà della sexy ma tormentata Alaska Young.

Si attendono nuove indiscrezioni sui futuri interpreti del nuovo adattamento.

Fonte: Hollywood Reporter

CEO Warner Bros ammette: la strategia Disney non va bene per il DCEU

0

La Warner Bros è stata per lungo tempo additata come lo studio che, nel trattamento delle proprie proprietà legate al mondo dei fumetti, voleva imitare il lavoro dei Marvel Studios e della Disney.

Adesso però Kevin Tsujihara, CEO Warner Bros, ha ammesso che copiare la strategia della Disney non funzionerà mai per lo studio e per la salute del DCEU.

Ecco cosa ha dichiarato Tsujihara a The Wrap: “La Warner Bros ha bisogno di fare ciò che ha sempre fatto: produrre il più grandi, meglio differenziati prodotti per il business. Questo ha fatto il nostro successo. Non possiamo fare come fa la Disney. Per loro ha funzionato molto bene, ma non per noi. Abbiamo bisogno di continuare a creare scalette bilanciate per tutti i tipi di film e di generi.”

La Warner Bros nomina il nuovo capo della DC Films

Il punto di vista del CEO Warner Bros è corretto: la Disney, con i Marvel Studios, ma anche con la Lucasfilm, ha creato delle programmazioni sistematiche, mettendo in piedi degli universi condivisi ben esposti, con una progettualità imprenditoriale impeccabile. Il tentativo di WB di seguire le stesse orme, senza un’impalcatura imprenditoriale prestabilita rischia di danneggiare non solo il progetto, ma soprattutto la qualità dei film stessi.

L’esempio lampante è rappresentato dai film di Christopher Nolan su Batman. La produzione di film indipendenti da terzi, che lasciano spazio all’autore e alla storia ha permesso la realizzazione di prodotti amati da pubblico e critica, mentre il tentativo di incastrare tutto in un Universo Condiviso forzato ha generato film che non sono stati apprezzati e che hanno condizionato in qualche modo la loro stessa struttura, con ennesime forzature e scelte pilotate.

Staremo a vedere gli sviluppi.

Centurion

0

E’ Online lo spettacolare trailer di Centurion

Centro Sperimentale di Cinematografia a Venezia 79 con tre restauri in anteprima mondiale

CSC – Centro Sperimentale di Cinematografia sarà presente alla 79. Mostra Internazionale d’Arte Cinematografica della Biennale di Venezia con le seguenti iniziative che coinvolgeranno le due aree principali della Fondazione CSC: la Cineteca Nazionale e la Scuola Nazionale di Cinema.

CSC – Cineteca Nazionale sarà presente nella sezione Venezia Classici con tre restauri in anteprima mondiale: “La voglia matta” di Luciano Salce, “La marcia su Roma” di Dino Risi e“Teresa la ladra” di Carlo Di Palma. I film saranno l’occasione per ricordare Catherine Spaak, celebrare i centenari della nascita di Vittorio Gassman, Ugo Tognazzi e Luciano Salce e rendere omaggio a Monica Vitti.

LA VOGLIA MATTA di LUCIANO SALCE (Italia, 1962, 110’, B/N)

Il film è stato restaurato da CSC – Cineteca Nazionale in collaborazione con Compass Film S.r.l. che ha messo a disposizione i negativi scena e colonna. Sarà presentato sabato 3 settembre, alle ore 16.45 in sala Corinto, alla presenza di Emanuele Salce e Ricky Tognazzi.

Durante un fine settimana l’industriale milanese Antonio Berlinghieri, quarantenne, sta andando con la sua Alfa “spider” a Pisa per trovare suo figlio. Antonio si imbatte in una (maliziosa) sedicenne, Francesca, che gli chiede un po’ di benzina per gli amici rimasti in “panne”. Un po’ per scherzare, un po’ perché interessato a Francesca, Antonio si lascia coinvolgere nel gruppo dei ragazzi, che lo invitano a passare con loro la domenica in uno “chalet” sul mare. Nello “chalet” cerca di colmare in qualche modo le differenze di mentalità e di gusti che derivano dall’età: trovandosi però sempre sull’orlo del ridicolo. Antonio ha un fondo d’ipocrisia borghese, e stenta a capire la spregiudicatezza di questi giovani, pur essendone nello stesso tempo affascinato. D’altra parte, anche Francesca stenta a prenderlo sul serio, incerta tra la compassione e la presa in giro: il turbamento prodotto in Antonio la lusinga, ma preferisce i coetanei. Concede all’uomo un momento di intimità, di notte, sulla spiaggia. Poi, all’alba, riparte con gli amici. Rimasto solo, stordito e col cuore pieno di amarezza, Antonio riprende il viaggio verso Pisa.

LA MARCIA SU ROMA di DINO RISI (Italia, 1962, 94’, B/N)

Il film è stato restaurato da CSC – Cineteca Nazionale in collaborazione con la Filmauro di Aurelio De Laurentiis, a partire dai negativi scena e colonna.

Sarà presentato domenica 4 settembre, alle ore 17.00 in sala Corinto, alla presenza di Jacopo Gassman, Diletta D’Andrea Gassman e Ricky Tognazzi.

Domenico Rocchetti è un reduce della Prima guerra mondiale che va in giro mostrando una falsa medaglia e millantando grandi gesta per poter elemosinare qualche soldo dai passanti. Un giorno incontra il suo vecchio capitano che lo schiaffeggia per questo fingersi eroe di guerra e poi lo esorta ad unirsi al neonato partito fascista che a suo dire ha a cuore le sorti dei reduci. Durante un comizio in un paese di campagna, i camerati vengono malmenati dai contadini della zona tutti politicamente vicini al partito comunista. Fuggendo Rocchetti incontra un suo vecchio commilitone Gavazza che, ospite della famiglia della sorella e con poche prospettive, accetta di seguire Rocchetti e i fascisti, allettato dal miraggio della ridistribuzione delle terre. Durante gli scontri per lo sciopero dei netturbini di Milano, a cui i fascisti si erano sostituiti, Rocchetti e Gavazza vengono arrestati e condannati. Liberati da un’azione dei fascisti, sono coinvolti nella marcia su Roma. I due, dopo alcune disavventure, piano piano si rendono conto che le speranze riposte nel partito sono illusorie e che l’unica arma nelle mani dei camerati è la violenza e la sopraffazione. Dopo l’ennesimo e più grave caso di aggressione fascista, i due si defilano, guardando in mezzo alla folla il passaggio dei fascisti per Roma.

TERESA LA LADRA di CARLO DI PALMA (Italia, 1973, 125’, colore)

Il film è stato restaurato da CSC – Cineteca Nazionale a partire dai negativi scena e colonna messi a disposizione dalla Minerva Pictures Group S.r.l.

Sarà presentato martedì 6 settembre, alle ore 16.45 alla sala Corinto, alla presenza di Adriana Chiesa di Palma e Valentina di Palma.

Teresa Numa, nata ad Anzio da una famiglia numerosa, si trova costretta ad abbandonare la casa paterna e a cercare lavoro. Lasciati dieci posti in sette anni, finisce per fare la sguattera a casa del capostazione, il cavalier Nardecchia, a Campo di Carne. Qui genera un figlio ma riesce a sposare Sisto, padre della creatura, solo diversi anni dopo. Poiché il marito, convinto fascista, muore nel corso dello sbarco degli Alleati in Sicilia, Teresa si trasferisce momentaneamente a Roma, dove incomincia a vivere di espedienti ed entra nel giro di alcuni ladruncoli. Finita in prigione nell’imminenza della Liberazione, quando ne esce tenta inutilmente la fortuna a Livorno, a Genova e a Milano. Tornata di nuovo a Roma, finisce prima in carcere e poi addirittura in manicomio e si lega prima a Tonino Santità, autista di un ministro, e poi al ladruncolo Ercoletto. Dimessa dal manicomio criminale, invecchiata e semidistrutta, torna ad Anzio per riassaporare un po’ di illusoria felicità nei campi fioriti che la videro bambina.

Nell’ambito della 37. Settimana Internazionale della Critica, nella sezione SIC@SIC dedicata ai cortometraggi, saranno presentati in concorso “Reginetta” di Federico Russotto (in corsa per gli Student Academy Awards, i premi Oscar dedicati agli studenti, con il precedente corto “L’Avversario”) e “Resti” di Federico Fadiga.

“Reginetta”, interpretato da Chiara Ferrara e scritto da Mattia Caprilli, Francesca Nozzolillo e dallo stesso Federico Russotto, è un racconto di illusione e disincanto insieme. Una favola nera dove la bellezza è benedizione e condanna. Reginetta è una giovane contadina che si trova di fronte ad una reale possibilità di scalata sociale. Ma questa, passa dal duro confronto con un canone estetico immobile e apparentemente irraggiungibile. L’avvicinarsi a quella perfezione è l’unica via di salvezza.

Il film sarà presentato lunedì 5 settembre alle 14.00 in sala Perla.

“Resti” è una riflessione sulla rimanenza, sui rapporti con le cose e le persone che sono state. Un’indagine su una nostalgia paradossale, che si manifesta in una stagione della vita normalmente più orientata al futuro. Resti parla di un ponte tra momenti distanti, che non si sfiorano più, ma che in qualche modo si condizionano ancora, trasformandosi a volte in voragini. E’ interpretato da Gabriele Monti , Giulia Battistini, Niccolò Ferrero, Emma Valenti e Adriano Moretti, e scritto da Federico Fadiga insieme a Veronica Penserini e Chiara Zago.La proiezione ufficiale sarà mercoledì  7 settembre alle 14.00 in sala Perla.Entrambi i cortometraggi saranno disponibili, prossimamente, su Rai Cinema Channel.

CSC – Centro Sperimentale di Cinematografia sarà presente, per il secondo anno, alla XIX edizione delle Giornate degli Autori sezione autonoma promossa da ANAC e 100autori – con alcune nuove iniziative.

Saranno organizzate tre masterclass che metteranno al centro la condivisione del processo creativo di storie per il cinema; momenti di dialogo e di confronto ai quali saranno coinvolte alcune classi del CSC – Scuola Nazionale di Cinema, anche nell’ottica di importanti progetti di formazione in corso d’opera per il Centro Sperimentale di Cinematografia.

Gli insegnanti d’eccezione saranno la regista e sceneggiatrice francese Céline Sciamma, lo sceneggiatore Alessandro Camon, padovano che vive e lavora a Los Angeles e il regista tedesco Edgar Reitz.

La masterclass con Céline Sciamma si terrà in Sala Laguna il 7 settembre alle ore 12.00. L’8 settembre doppio appuntamento, sempre in Sala Laguna: Alessandro Camon alle ore 12.00 e Edgar Reitz alle ore 16.00 con, a seguire dell’incontro, la proiezione di Heimat 2, Episodio 1 – Hermaned Episodio 2 – Juan.

“Siamo particolarmente felici” dichiara Marta Donzelli, Presidente della Fondazione Centro Sperimentale di Cinematografia, “della riconferma della collaborazione con le Giornate, che rappresenta un’altra importante tappa per la Fondazione Centro Sperimentale di Cinematografia nel percorso di ampliamento dell’offerta formativa e di rafforzamento dei rapporti internazionali della Scuola Nazionale di Cinema, luogo di eccellenza per il cinema italiano a venire. Le Masterclass offriranno una prospettiva molto concreta sull’opera dei grandi professionisti invitati, attraverso esempi pratici e ricordi di lavorazione. Le registrazioni delle Masterclass andranno a nutrire nuovi strumenti di e-learning attualmente in fase di progettazione.”

Inoltre, la collaborazione tra il CSC – Scuola Nazionale di Cinema e le Giornate degli Autori è triangolata da un’iniziativa promossa da BNL BNP Paribas. Si tratta di BNL x Cinema del futuro, sostegno del valore di 3.000 euro assegnato a un’opera prima o seconda individuata tra i film di finzione del Concorso delle Giornate. Saranno infatti 5 studenti del CSC a comporre la giuria che assegnerà questo riconoscimento – venerdì 9 settembre – a un’opera capace di distinguersi per coraggio e innovazione.

Central Intelligence: prime foto ufficiali con Dwayne Johnson

0
Central Intelligence: prime foto ufficiali con Dwayne Johnson

Warner Bros ha pubblicato le prime tre foto ufficiali di Central Intelligence, il film d’azione diretto da Rawson Marshall Thurber, con Dwayne Johnson protagonista.

central-intelligence-1

central-intelligence-2

central-intelligence-3

Fanno parte del cast del film, oltre ad Dwayne Johnson, anche Kevin Hart e Aaron Paul.

Kevin Hart interpreta il ruolo di un annoiato ragioniere che visse il proprio momento migliore ai tempi del liceo, periodo in cui era considerato il “tipo cool”. La sua vita cambierà quando, attraverso Facebook, tornerà in contatto con un vecchio conoscente dei tempi della scuola (Johnson), un ex nerd che si rivelerà essere una spia e che lo trascinerà in un mondo fatto di azione ed intrighi. Aaron Paul interpreterà il partner di Johnson.

Fonte: ComicBook

Central Intelligence: Aaron Paul si aggrega al cast

0
Central Intelligence: Aaron Paul si aggrega al cast

Aaron Paul la star rivelazione di Breaking Bad è pronto ad aggregarsi al cast di Central Intelligence, il film d’azione diretto da Rawson Marshall Thurber le cui riprese si terranno a breve a Boston. Fanno parte del cast del film, oltre ad Aaron Paul, anche Kevin Hart Dwayne Johnson.

Hart interpreta il ruolo di un annoiato ragioniere che visse il proprio momento migliore ai tempi del liceo, periodo in cui era considerato il “tipo cool”. La sua vita cambierà quando, attraverso Facebook, tornerà in contatto con un vecchio conoscente dei tempi della scuola (Johnson), un ex nerd che si rivelerà essere una spia e che lo trascinerà in un mondo fatto di azione ed intrighi. Aaron Paul interpreterà il partner di Dwayne Johnson.

Fonte: The Hollywood Reporter

Cento Domeniche: recensione del film di Antonio Albanese – #RoFF18

Alla sua quinta regia, Cento Domeniche, Antonio Albanese scatta una desolante e sconcertante fotografia del sistema finanziario italiano. In questo suo ultimo film, che va inserendosi nella cornice della 18esima edizione della Festa del Cinema di Roma, il regista ne compie una denuncia schietta ed esplicita, condannandolo attraverso un espediente narrativo estremo ma molto realistico. Le banche da sempre custodiscono i nostri tesori, quei risparmi messi da parte per una vita intera con sudore, sacrifici e fatica, dai quali attingiamo per realizzare i nostri sogni. Gli stessi che a causa di un organismo fallace, come ci dimostrerà Cento Domeniche, possono essere persi all’improvviso, senza che si possa avere una chance di agire o attutire il colpo in qualche modo.

Albanese in quest’opera decide dunque di analizzare uno spaccato di realtà del Bel Paese non facile da digerire, che coinvolge e logora molti cittadini (più di quelli che si possa immaginare) nel cui sistema hanno riposto la loro massima fiducia. Ma la triste verità è che, fruendolo, il racconto portato sullo schermo dal regista/attore si scopre essere universale, oltre che specchio attraverso cui riflettersi, poiché se si volge lo sguardo oltre la nostra penisola, ci si accorge di quanto situazioni simili siano comuni anche in altre parti del mondo. Cento Domeniche arriva in sala dal 23 novembre distribuito da Vision Distribution.

La trama di Cento Domeniche

Antonio è un operaio andato in prepensionamento, che abita con la madre anziana e conduce una vita normale e regolare. Separato dalla moglie ha con lei una sola figlia, Emilia, con la quale giocava a portarla all’altare sin da quando aveva cinque anni. Fino a che quel passatempo ad un certo punto non diventa realtà: Emilia sta davvero per convolare a nozze con Chicco, e Antonio è così entusiasta di star realizzando il suo (e anche il proprio) sogno che si offre subito di pagare tutto il matrimonio. È questo il suo regalo, qualcosa a cui l’uomo tiene molto e non vuole rinunciare. Le spese però sono molto alte, e così decide di recarsi in banca per prelevare i risparmi che fino a quel momento ha messo da parte.

Arrivato nella sua filiale di fiducia, Antonio si trova a parlare con il suo nuovo direttore, un certo Luca Gilardi, il quale gli dice che le obbligazioni che credeva di avere sono in realtà azioni, suggerendogli di continuare a investirci su e nel frattempo, per le nozze, chiedere un prestito. Dopo un primo tentennamento, l’uomo decide di seguire un consiglio che, poco tempo dopo, si rivelerà disastroso. La banca, infatti, va in crisi. Nonostante molti gli dicano che non possa essere vero e che sono piccoli problemi di passaggio, Antonio scoprirà che sta perdendo tutti i suoi soldi. E con essi anche il sogno di rendere felice la sua Emilia.

Cento Domeniche Antonio Albanese

Dentro un sistema corrotto

Il crac finanziario. Il fallimento, la crisi. La codardia di un apparato che regge in piedi un Paese intero. In Cento Domeniche Antonio Riva deve scontrarsi con tutto questo quando scopre che le sue azioni – che lui credeva fossero obbligazioni – stanno crollando. Nessuno gli dà spiegazioni. I dipendenti della banca alla quale lui si è affidato, come suo padre ancor prima, sono evasivi e criptici. “Va tutto bene”, gli dicono, “non c’è da preoccuparsi”. Ma nel frattempo Antonio i suoi soldi, risparmi per cui “ha lavorato tutta una vita”, li vede sempre più lontani, quasi trasparenti. Fino a quando non scompaiono. E con essi la sua ragione. Albanese dipinge un ritratto atroce ma al tempo stesso lucido di quella che è l’Italia oggi, con le sue menzogne e contraddizioni. Un’Italia che dovrebbe essere dalla parte del popolo, ma che qui ne diventa nemica in trincea, corrotta, che assiste freddamente alla sua depressione. A rappresentarla c’è un solo uomo, per l’appunto Antonio, il quale diventa canale preferenziale attraverso cui esplicitarne le tematiche, e al quale Albanese si affida, interpretandolo, per farlo essere la voce della comunità.

Antonio è un padre umile. Un uomo perbene che non ha mai mancato un giorno di lavoro, che si è sempre speso per la sua famiglia e ha un sogno nel cassetto da sempre: portare la figlia all’altare e pagarle il matrimonio che tanto immaginavano insieme quando era piccola. Ma che alla fine si trasforma, indotto da un sistema che nel momento del bisogno lo inganna e tradisce. Fino a spingerlo al limite, in una vera e propria odissea, portandolo all’esasperazione perché non in grado di assumersi le proprie responsabilità. La felicità di Antonio lentamente va spegnendosi per lasciare il posto al turbamento, alla frustrazione, all’ira, tutti sentimenti ed emozioni che Albanese fa suoi per restituirci un protagonista affranto e addolorato, che pur non volendo si smarrisce. La tenerezza e la gioia che si rintracciavano all’inizio nei suoi occhi, occhi di un padre che ama la figlia e vuole per lei solo il meglio, scompaiono gradualmente, spazzate via dall’indifferenza e dalla falsità non solo di chi lo ha preso in giro, ma anche da quegli amici che lo rassicuravano quando invece erano più che consapevoli della sua disastrosa condizione. Ma essendo ricchi, non potevano ammettere di essere stati privilegiati.

Antonio Riva siamo tutti noi

Ed è così che Antonio Albanese nel suo acuto discorso disegna uno scenario disarmante in cui è compresa anche una riflessione sulle classi sociali, i suoi dislivelli, il grande gap che vi è fra queste e le ingiustizie radicate. La sua regia è netta, così come la sceneggiatura che cura insieme a Piero Guerrera: niente è lasciato in sospeso, ma soprattutto alcuna sequenza gioca sull’eccesso o la teatralità. Il picco emotivo Albanese lo confina nel climax finale, sentito, giusto nei tempi, forte, accorato e commovente, in cui si concentra tutto il senso del film e il malessere del protagonista che, di riflesso, invade anche lo spettatore. Il quale, inevitabilmente, dopo il crescendo di tensione e apprensione, è più capace di assorbirlo. Come se fosse lui. E in fondo lo è. Perché Cento Domeniche non è un film dedicato solo a coloro che sono finiti nel vortice del crac. È dedicato a tutti gli italiani che, sostanzialmente, hanno perso la fiducia. E questa concretezza, questo realismo dell’opera, non possono che fare male.

Centenario Universal: nuovo logo e nuova animazione!

0

Nell’ambito dei festeggiamenti previsti per il Centenario di Universal Pictures, lo Studio presenta un nuovo logo animato appositamente realizzato per questa speciale ricorrenza.

Centenario Universal – Martedì tocca a Casinò di Martin Scorsese!

0

Vi ricordiamo i festeggiamenti del Centenario della Universa Pictures e la prossima proiezione alla Casa del Cinema di Roma. Martedì 20 Marzo ore 19:30 sarà la volta di Martin Scorsese e il suo Casinò, che sarà presentato restaurato e rimasterizzato in digitale da Marco SpagnoliC.Castrogiovanni. Proiezione ad ingresso libero, non mancate.


Cent’anni di solitudine è basata su una storia vera? Ecco tutto quello che sappiamo sulla serie Netflix

Netflix sta andando alla grande con i suoi adattamenti di fanzione. Certo, ha avuto la sua parte di successi e insuccessi quando si tratta di live-action, ma il catalogo continua a espandersi e a far crescere l’hype. Hanno trovato la salsa segreta per il successo, anche con qualche intoppo lungo la strada, e ora si stanno tuffando in uno degli adattamenti più interessanti di Cent’anni di solitudine. I topi di biblioteca potrebbero non aver bisogno di queste presentazioni, poiché il titolo è sufficiente a far salire l’attesa.

Dolly Parton ha festeggiato il suo anniversario di matrimonio da McDonald’s

Per i non addetti ai lavori che si chiedono se questa storia sia basata sulla vita reale, ecco tutto quello che c’è da sapere sulla serie, la trama e molto altro ancora.

Cent’anni di solitudine su Netflix: Realtà o finzione?

Claudio Cataño in Cent'anni di solitudine
Pablo Arellano—Netflix

Cent’anni di solitudine è un romanzo del 1967 di Gabriel García Marquez che racconta l’epopea della famiglia Buendía attraverso più generazioni. Al centro di questa storia c’è il patriarca della famiglia, José Arcadio Buendía, che ha fondato la città immaginaria di Macondo. Se da un lato offre una lente metaforica e critica sulla storia colombiana, dalle sue origini ai tempi moderni, dall’altro il libro è un brillante esempio di realismo magico, che intreccia il mito in una narrazione fittizia per riflettere gli eventi storici.

La serie prevede un totale di 16 episodi, divisi in due parti da otto episodi ciascuna. Netflix ha appena annunciato la data della prima parte, che debutterà l’11 dicembre 2024. Il progetto è co-diretto da Alex García López e Laura Mora, con la produzione curata dalla società colombiana Dynamo. Il team di sceneggiatori comprende José Rivera, Natalia Santa, Camila Brugés, María Camila Arias e Albatrós González.

Sebbene non sia basato su una storia vera, attinge a una storia straordinaria, rendendo il progetto una sfida emozionante per i registi.

I registi di Cent’anni di solitudine di Netflix raccontano la loro esperienza

Cent'anni di solitudine
Pablo Arellano—Netflix

Netflix può anche fare passi coraggiosi per aumentare la qualità dei suoi contenuti, ma quando si impegna a fondo in un progetto, è difficile non rimanere a bocca aperta. Alex García López ha recentemente condiviso con Netflix la sua esperienza alla regia degli episodi 1, 2, 3, 7 e 8 di Cent’anni di solitudine, descrivendo il processo come una “sfida e un’avventura”. Il suo obiettivo, ha sottolineato, era quello di creare qualcosa di autentico che fosse all’altezza della grandezza di una produzione internazionale.

Laura Mora, che ha diretto i restanti episodi, ha espresso un immenso orgoglio sia come regista che come colombiana, sottolineando il loro sforzo di onorare il materiale originale. La serie sarebbe stata girata interamente in Colombia, con il sostegno della famiglia di Gabriel García Marquez. Il cast comprende Claudio Cataño, Jerónimo Barón, Marco González, Leonardo Soto, Susana Morales, Ella Becerra, Carlos Suárez, Moreno Borja e Santiago Vásquez.

Censura cinematografica: addio al controllo dello Stato sulla libertà degli artisti

0

Il più famoso è il caso di Ultimo Tango a Parigi di Bernardo Bertolucci, il più recente del 1998, di Totò che visse due volte, di Maresco e Ciprì; la censura cinematografica, in Italia, ha il suo grande carico di vittime, cadute sotto la sua mannaia, ma da oggi basta.

Dopo aver ostacolato 274 film italiani, 130 americani e 321 da altri paesi su 34433 lungometraggi sottoposti al suo veto dal ’44 a oggi e 10092, ammessi dopo modifiche, la censura è ufficialmente archiviata. “Il ministro Dario Franceschini ha firmato il decreto che abolisce definitivamente la censura cinematografica, un provvedimento lungamente atteso, che accantona “quel sistema di controlli e interventi che consentiva ancora allo Stato di intervenire sulla libertà degli artisti”, come ha sottolineato.” scrive l’ANSA.

Al posto della commissione censura, è stata ora istituita una Commissione per la classificazione delle opere cinematografiche presso la Direzione Generale Cinema del Ministero della Cultura. Questa commissione avrà il compito di verificare che le opere siano correttamente classificate in base al pubblico di riferimento.

Secondo quanto dichiarato da Nicola Borrelli, direttore della Direzione generale Cinema e audiovisivo all’ANSA, “si mette in essere una sorta di autoregolamentazione, saranno i produttori o i distributori ad autoclassificare l’opera cinematografica, alla commissione il compito di validare la congruità”. Questo discorso è però legato alle uscite in sala, visto che per le piattaforme vale il sistema del parental control.

La censura cinematografica, in Italia, venne istituita nel maggio 1914, con il Regio Decreto n. 532, che attua la Legge Facta.

Cenerentola: valanga di foto del film con Richard Madden

0

Cresce l’attesa per l’arrivo a cinema del nuovo adattamento live action Disney, Cenerentola di  Kenneth Branagh e che vede protagonisti due giovani attori Richard Madden (Game of Thrones) e Lily James (Downton Abbey). Ebbene oggi arrivano una valanga di foto inedite del film che trovate nella nostra gallery:

[nggallery id=1235]

Cenerentola uscirà nelle sale il 12 marzo 2015.

Diretto dal regista candidato all’Oscar Kenneth Branagh (Thor, Hamlet) e interpretato dall’attrice premio Oscar Cate Blanchett (Blue Jasmine, Elizabeth), da Lily James (Downton Abbey), Richard Madden (Game of Thrones) e dall’attrice candidata all’Academy AwardHelena Bonham-Carter (Il discorso del re, Alice in Wonderland), il film Disney Cenerentola è prodotto da Simon Kinberg (X-Men – Giorni di un futuro passatoElysium), Allison Shearmur (Hunger Games: La ragazza di fuoco) e David Barron (Harry Potter e i doni della morte), mentre la sceneggiatura è di Chris Weitz (About a Boy – Un ragazzoLa bussola d’oro).

Cenerentola teaser posterLa magia di uno dei classici Disney più amati rivive sul grande schermo con l’attesissimo film Cenerentola. Sull’account ufficiale Twitter.com/DisneyStudiosIt, con l’hashtag #LaScarpettaDiCenerentola, vengono presentati il teaser poster e il teaser trailer dell’attesissimo film. Il film, popolato da personaggi in carne e ossa, mette in scena un affascinante spettacolo che catturerà una nuova generazione di spettatori.

Il nuovo film Disney Cenerentola racconta le vicende di una giovane ragazza (Lily James) figlia di un mercante. Dopo la morte di sua madre, suo padre si risposa e lei, per dimostrargli il suo affetto, accoglie in casa la matrigna (Cate Blanchett) e le sue figlie, Anastasia (Holliday Grainger) e Genoveffa (Sophie McShera). Ma quando improvvisamente suo padre muore, Cenerentola si ritrova alla mercé di tre donne gelose e malvage. Relegata alla stregua di una serva coperta di cenere e stracci, Cenerentola potrebbe facilmente perdere ogni speranza. Invece, nonostante le crudeltà di cui è vittima, desidera solo onorare le parole pronunciate da sua madre sul letto di morte, che le raccomandava di “avere coraggio ed essere gentile”. La giovane fanciulla non intende disperarsi né disprezzare chi la maltratta. E poi c’è l’affascinante straniero che incontra nel bosco. Senza sapere che si tratta di un principe, e non di un semplice apprendista del Palazzo Reale, Cenerentola sente di aver incontrato la sua anima gemella. E quando i reali invitano tutte le fanciulle del regno a partecipare a un ballo, spera che il suo destino stia finalmente per cambiare e di poter nuovamente incontrare l’affascinante principe (Richard Madden). Purtroppo la sua matrigna le proibisce di andare al ballo, strappandole l’abito che avrebbe dovuto indossare. Ma come in tutte le favole che si rispettino, qualcuno accorre in aiuto: una gentile mendicante (Helena Bonham-Carter) si fa avanti e, con una zucca e qualche topolino, cambierà per sempre la vita di Cenerentola.

Cenerentola arriverà nelle sale italiane prossimamente, distribuito da The Walt Disney Company Italia.

Cenerentola: un nuovo film in produzione da Sony

0
Cenerentola: un nuovo film in produzione da Sony

Nonostante sia stata la Disney a renderla famosa in tutto il mondo, omaggiandola nel 2015 con una versione in live action, la fiaba di Cenerentola è di dominio pubblico, e a questo si devono le tante variazioni in chiave moderna e i tanti rifacimenti per cinema e tv nel corso degli anni.

Adesso, anche la SONY vuole raccontare la sua storia di Cenerentola, affidando il ruolo di protagonista alla cantante Camila Cabello. Kay Cannon è stato incaricato di dirigere il film, che sembra sia stato pensato da James Corden, l’attore che ha il suo omonimo talk show a tarda sera e che ha prestato la voce alla versione originale di Peter Rabbit e che ha partecipato all’adattamento cinematografico di Into the Woods.

Non sappiamo ancora quali saranno i dettagli della storia e come questa si svilupperà in base ai canoni della fiaba originale. Immaginiamo però che il film sarà ricco di musica a giudicare dalla scelta della protagonista e dal coinvolgimento di Corden.

Probabilmente ci saranno alcuni punti fermi della storia – una giovane donna che ha a che fare con una matrigna crudele e fratelli e una storia d’amore regale, con l’aggiunta di qualche spunto magico. Non abbiamo ancora informazioni in merito al cast o alla data di inizio delle riprese del film.

L’ultima volta che abbiamo visto Cenerentola al cinema in carne e ossa, era il 2015 ed aveva il volto di Lily James. La matrigna era Cate Blanchett, mentre alla regia c’era Kenneth Branagh. Il film faceva da apripista ai remake in live action dei classici Disney. Nel 2017 è arrivata invece la bellissima versione animata made in Italy, Gatta Cenerentola, diretta da Alessandro Rak.

Cenerentola: Un amore da favola [VIDEO]

0
Cenerentola: Un amore da favola [VIDEO]

Ella (Lily James) è una bellissima ragazza dall’animo gentile, trova la felicità nelle piccole cose. È cresciuta circondata dall’affetto della sua famiglia, possiede un cuore puro, un carattere amorevole, ed è gentile e generosa con tutti quelli che la circondano. Nonostante la crudeltà e gli abusi cui la sottopongono la matrigna e le sue figlie, Ella continua a rimanere ottimista e decisa, trovando forza nelle ultime parole di sua madre: “Sii coraggiosa e gentile”.

LEGGI ANCHE: Cenerentola recensione del film con Cate Blanchett

Il Principe (Richard Madden) è affascinante, intelligente e riflessivo, l’anima gemella di Ella. Vuole bene a suo padre e spera di poter regnare un giorno con altrettanta efficienza. E’ giovane, appassionato e pieno di suggerimenti. Appena tornato dalla guerra, il Principe conosce il potere della pace. Ma le vedute del Re sono più tradizionaliste, e il sovrano è restìo ad ascoltare le idee di suo figlio.

Nel film, il Principe ed Ella non sanno niente l’uno dell’altra quando si incontrano per la prima volta, dunque non importa che lui sia un principe e lei una contadina: il loro legame è molto più profondo a livello umano.

Cenerentola: tutte le curiosità sul film live action della Disney

Tra le più celebri fiabe narrate nel corso dei decenni dalla Walt Disney, vi è Cenerentola. Questo detiene tutt’oggi un’importanza speciale tanto per il grande studios quanto per l’immaginario collettivo. Il primo film, realizzato nel 1950, segna infatti il ritorno ad una grande produzione ispirata a un’unica storia e non più ad un collage di cortometraggi. Cenerentola introdusse la Disney ad un nuovo periodo d’oro, dando vita al concetto di “Classico Disney“. Non sorprende dunque che, tra i primi rifacimenti in live action realizzati da qualche anno a questa parte dalla Disney, vi sia proprio quello dedicato a Cenerentola (qui la recensione).

Diretto da Kenneth Branagh, noto come attore ma anche per aver diretto film come Thor e Assassinio sull’Orient Express, questo nuovo adattamento segue in modo piuttosto fedele l’originale animato, riproponendo le caratteristiche essenziali. Cenerentola contribuì infatti a forgiare un più tradizionale stile disneyiano, con un racconto di fate, sogni, disegni brillanti e delicati, una trama ben definita e personaggi iconici. Cenerentola è inoltre divenuta simbolo dell’elevazione personale, con i sogni che possono diventare realtà a patto che si creda fermamente in essi. Accolto in modo molto positivo, questo rifacimento ha contribuito al consolidamento dell’operazione live-action.

Negli anni successivi sono infatti stati realizzati diversi altri titoli basati sui classici Disney, da La bella e la bestia a Dumbo. Cenerentola, però, con i suoi costumi, le sue scenografie e la sua magia, conserva un fascino a dir poco unico. Prima di intraprendere una visione del film, però, sarà certamente utile approfondire alcune delle principali curiosità relative a questo. Proseguendo qui nella lettura sarà infatti possibile ritrovare ulteriori dettagli relativi alla trama e al cast di attori. Infine, si elencheranno anche le principali piattaforme streaming contenenti il film nel proprio catalogo.

Cenerentola cast
Cate Blanchett e Lily James in Cenerentola © 2015 – Walt Disney Studios Motion Pictures

 

La trama di Cenerentola

Protagonista del film è la giovane ragazza di nome Ella, figlia di un mercante. Dopo la morte di sua madre, suo padre si risposa e lei, per dimostrargli il suo affetto, accoglie in casa la matrigna Lady Tremaine e le sue figlie, Anastasia e Genoveffa. Ma quando improvvisamente suo padre muore, la giovane si ritrova alla mercé di tre donne gelose e malvage. Relegata alla stregua di una serva coperta di cenere e stracci, la ragazza potrebbe facilmente perdere ogni speranza. Invece, nonostante le crudeltà di cui è vittima, desidera solo onorare le parole pronunciate da sua madre sul letto di morte, che le raccomandava di “avere coraggio ed essere gentile”.

Quando però un giorno, nel bosco, incontra l’affascinante principe Kit, si sente travolta da un emozione che la spinge a volerlo rivedere. Quando i reali invitano tutte le fanciulle del regno a partecipare a un ballo, Ella spera che il suo destino stia finalmente per cambiare e di poter nuovamente incontrare l’affascinante principe. Purtroppo la sua matrigna le proibisce di andare al ballo, strappandole l’abito che avrebbe dovuto indossare. Ma come in tutte le favole che si rispettino, qualcuno accorre in aiuto: una gentile mendicante si fa avanti e, con una zucca e qualche topolino, cambierà per sempre la vita di Cenerentola.

Il cast del film

Per il ruolo di Cenerentola, furono considerate le attrici Emma Watson, Saoirse Ronan e Alicia Vikander, le quali però rifiutarono. A sostenere un provino furono poi Imogen Poots, Bella Heathcote, Margot Robbie e Lily James e fu proprio quest’ultima ad ottenere la parte. Per assumere i panni del personaggio, la James si trovò poi a dover trascorrere diversi mesi esercitandosi sulla coreografia di danza prevista, al fine di poterla eseguire senza controfigure. Un ulteriore curiosità è poi stata raccontata dalla stessa James, la quale ha rivelato che la celebre scarpetta di cristallo non le entrava per davvero e fu quindi necessario ricorrere alla CGI per rimediare a ciò.

Nel ruolo dei genitori di Ella vi sono gli attori Ben Chaplin e Hayley Atwell. Richard Madden è il principe azzurro, mentre Derek Jacobi è il re. Ad interpretare le due sorellastre di Cenerentola, Anastasia e Genoveffa, vi sono invece Holliday Grainger e Sophie McShera. Helena Bonham Carter, invece, interpreta la Fata Madrina. In ultimo, nei panni dei due principali antagonisti del film si ritrovano Stellan Skarsgård nei panni del Gran Duca, consigliere del Re, e la premio Oscar Cate Blanchett, in quelli della matrigna di Cenerentola. Per l’interpretazione di questo personaggio, l’attrice ha raccontato di aver trovato ispirazione nella Myrtle Bagot del film del 1945 Breve incontro.

Helena Bonham Carter è la Fata Madrina in Cenerentola
Helena Bonham Carter è la Fata Madrina in Cenerentola © 2014 – Disney Enterprises

I costumi del film

Ad occuparsi dei costumi del film è stata la tre volte premio Oscar Sandy Powell. Descrivendo il suo lavoro per Cenerentola, la Powell ha affermato di aver ricercato uno stile che desse l’impressione che la storia è ambietata tra gli anni Quaranta e Cinquanta. Tra tutti i costumi spicca naturalmente l’iconico vestito blu di Cenerentola, il quale ha avuto un totale di otto versioni, tutte utilizzate a seconda di ciò che la James stava facendo nella scena in cui viene indossato l’abito. Ad esempio, un vestito era a quattro pollici da terra per la sua scena di corsa dal ballo alla carrozza, e un altro trascinato leggermente a terra per il suo ingresso al ballo. Il costume che differisce maggiormente rispetto all’originale animato è quello della Fata Madrina.

Il trailer del film e dove vederlo in streaming e in TV

È possibile fruire di Cenerentola grazie alla sua presenza su alcune delle più popolari piattaforme streaming presenti oggi in rete. Questo è infatti disponibile nei cataloghi di Apple iTunes, Prime Video, Tim Vision e Disney+. Per vederlo, una volta scelta la piattaforma di riferimento, basterà noleggiare il singolo film o sottoscrivere un abbonamento generale. Si avrà così modo di guardarlo in totale comodità e al meglio della qualità video. Il film è inoltre presente nel palinsesto televisivo di venerdì 3 gennaio alle ore 21:30 sul canale Rai 1.

Pubblicità
Pubblicità
Pubblicità